Atakpamé, 16 juil. (ATOP) – Les membres des bureaux préfectoraux des Praticiens de la médecine traditionnelle (PMT) de la région des Plateaux ont été édifiés sur le processus de la réorganisation de leur secteur, le mercredi 15 juillet à Atakpamé.
La rencontre est organisée par le comité national de la médecine traditionnelle en collaboration avec la division de la médecine traditionnelle du ministère de la Santé. L’objectif est de restituer aux relais préfectoraux et régionaux, les préparatifs budgétaires de l’Assemblée générale nationale dont la date sera fixée à l’issue de la tournée nationale puis de finaliser les statuts que la division de la Médecine Traditionnelle a adoptés comme proposition. Cette sensibilisation va permettre aux participants de d’instruire à leur tour les praticiens de la médecine traditionnelle à travers des assemblées sur les contraintes de l’aboutissement de l’AG.
Au cours des travaux, les participants ont suivi des présentations des stratégies de réorganisation du budget ; du projet d’appui au fonctionnement des comités régionaux et une proposition de délai de restitution des activités dans les préfectures ainsi qu’une proposition de délai de dépôt des projets auprès des chefs divisions. Le comité d’organisation des praticiens de la médecine traditionnelle de 20 membres conduit par M. Dognon Kossi a été présenté aux participants.
Le coordinateur du comité de réorganisation, Lakassa Essossiminam a fait savoir que le secteur de la médecine traditionnelle est dans un processus de réorganisation depuis deux ans pour pouvoir mieux exploiter leur potentiel en faveur de la population. Il a ajouté qu’il est important pour eux de travailler en partenariat avec d’autres secteurs notamment les chercheurs d’universités, des médecins et de créer un cadre de collaboration pour que la médecine traditionnelle soit plus utile à la population.
Le représentant du secrétaire général de la réorganisation des PMT, Dr Atsu Koffi a pour sa part indiqué que le processus de réorganisation entamé depuis 2017 est en bonne voie et mérite d’être soutenu pour servir d’exemple dans la sous-région ouest-africaine.