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OUVERTURE, À DAKAR, D’UNE FORMATION SUR LES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX DE DÉVELOPPEMENT DE L’ÉDUCATION


  17 Septembre      30        Education (7127),

 

Dakar, 17 sept (APS) – Des membres d’organisations de la société civile actifs au sein de la Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (Cosydep) participent depuis ce jeudi à Dakar à une session de renforcement de capacités sur les instruments internationaux de développement du secteur.

‘’Nous devons être aptes à maîtriser certains modules essentiels par rapport aux enjeux de développement liés au secteur de l’éducation pour être des forces de proposition, en plus de jouer pleinement notre rôle de veille et d’alerte d’acteurs de la société civile’’, a expliqué le directeur exécutif de la Cosydep, Cheikh Mbow.

Il intervenait jeudi à l’ouverture de la session, au siège de la Plateforme des acteurs non étatiques (PFane), à Dakar.

Animateur de la session à côté d’autres formateurs, il a souligné que ces modules ont trait aux instruments internationaux de développement qu’il faut maîtriser, comme l’Agenda 2030 des Nations Unies, l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et le cadre juridique et réglementaire de la politique éducative au Sénégal.

‘’Ils [les acteurs] seront formés parce que sur la base d’une étude diagnostic, les forces, les limites, les faiblesses par rapport aux capacités des membres de la coalition ont été identifiées’’, a-t-il expliqué.

La problématique liée aux mécanismes de participation efficace aux politiques publiques doit être également comprise par les membres de ces organisations, pour que l’éducation soit l’affaire de tous, a ajouté Cheikh Mbow.

Selon lui, la question de la gestion des projets est également au cœur de cette rencontre. En effet, ‘’les organisations actives dans le secteur doivent pouvoir capter des ressources auprès de partenaires, mais surtout pouvoir en faire une bonne utilisation afin de continuer à être crédibles au niveau national et international’’.

Durant deux jour, des modules sont adressés aux participants, également coordonnateurs régionaux de la Cosydep, pour qu’ils soient ‘’plus outillés et plus aptes à être des forces de propositions en plus de leur rôle d’alerte et de veille au niveau local’’.

‘’Aujourd’hui, il est essentiel de maîtriser certaines questions puisque l’enjeu au niveau international est d’arriver à ce que toutes les voix soient entendues sur les questions d’éducation avec le concept en anglais +Education out laught+’’, a-t-il ajouté.

L’idée pour les acteurs de l’éducation est de voir comment faire pour entendre la voix des marginalisés, la voix des filles, des enfants à besoins spéciaux, la voix des enfants dans les zones reculées, entre autres.

Un concept qui engage un plaidoyer pour que l’éducation ne soit plus seulement l’affaire de l’Etat, des enseignants, des syndicats et des parents d’élèves mais de toute la communauté, de tous les segments de la société.

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