AIP La ministre Belmonde Dogo réaffirme l’engagement du gouvernement dans le relogement des déguerpis de Gesco MAP Afrique du Sud : Jacob Zuma indemne après un accident de voiture (parti) MAP L’Afrique du Sud, un point chaud de la pollution atmosphérique dans le monde (Greenpeace) AIB Gestion des refugiés : le Mali, le Burkina et le HCR signent un accord tripartite révisé AIB Burkina : Le Premier ministre s’engage pour la restauration du parc Bangr Wéogo AIB Burkina : Plus de 10 milliards de FCFA engagés en 2024 pour booster la production locale de la volaille et du poisson APS SENEGAL-CULTURE-FINANCEMENT / Lancement officiel des activités du Fonds de développement des cultures urbaines et des industries créatives AGP Dialogue national : le président Oligui Nguema échange avec les membres du bureau AGP Gabon : Bientôt un recensement des biens de l’Etat AGP Coopération Gabon-France : un forum économique en perspective

Le général Apalo Touré recommande la paix et la cohésion sociale à Bongouanou


  19 Octobre      38        Société (44867),

 

Bongouanou, 19 oct 2020 (AIP)- Le commandant supérieur de la gendarmerie, le général Alexandre Apalo Touré, a recommandé la paix et la cohésion sociale, à Bongouanou, dimanche 18 octobre 2020, lors de différentes rencontres qu’il a eues avec les populations locales à la suite d’affrontements survenus, vendredi et samedi, entres deux camps de jeunes.

Le général Touré leur a demandé d’œuvrer quotidiennement pour le maintien de la paix et la cohésion sociale, afin d’éviter tout dérapage dont l’issue n’arrange pas la population de Bongouanou.

 » Le feu fait toujours plus de dégâts à l’endroit où on l’allume. N’acceptez pas qu’on arrive à un niveau que je ne vous souhaite pas de vivre », a-t-il conseillé, prévenant que « nous disposons de tous les moyens pour imposer l’ordre, mais je ne souhaite pas que nos parents de Bongouanou vivent ces moments ».

Le calme est revenu à Bongouanou, mais la ville déserte toute la journée du dimanche 18 octobre 2020 après des affrontements entres deux camps de jeunes vendredi 16 et samedi 17 octobre. La ville a été quadrillée par les forces de l’ordre, empêchant tout mouvement de jeunes.

Les traces des affrontements sont encore visibles sur les principales artères de la ville.  La plupart des boutiques ont été pillées. Une seule station d’essence et deux boutiques offrent encore leurs services au centre-ville.

Toutes les barricades ont été levées sauf celui du corridor à l’entrée de la ville par la route d’Abidjan et deux autres sur la voie de Kangandi qui étaient encore dressés dans l’après-midi.

(AIP)

Dans la même catégorie