Rabat – Voici le bulletin de l’écologie en Afrique pour la journée du samedi 02 novembre :
Sénégal:
Le ministre du Commerce et des Petites et moyennes entreprises Aminata Assome Diatta préside, dimanche prochain, la « randonnée écologique » de la 28e Foire Internationale de Dakar (FIDAK), au Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES), annonce un communiqué.
Cette randonnée écologique se tient en perspective de la FIDAK 2019, qui se tient du 5 au 22 décembre sur le thème « Industrialisation et transfert de technologies : Enjeux et perspectives en Afrique de l’Ouest. », précise la même source.
RDC:
La République démocratique du Congo doit se doter d’un système de gestion des déchets en plastique, et le plus vite serait le mieux pour lutter contre l’insalubrité. Il s’agit d’une recommandation faite par Jean Claude Emene, chargé des Missions de l’Agence Congolaise de l’Environnement, au ministre de l’environnement et du développement durable.
D’après lui, la gestion des déchets plastique pose de sérieux problèmes. Il a souligné la nécessité d’ »agir en amont » et de « bien réfléchir sur les états généraux pour trouver des solutions idoines », à cette problématique, a-t-il dit.
« Il faut qu’on puisse mettre en place un système de gestion des déchets. On doit aller vers le recyclage, c’est comme ça que se passe ailleurs », a-t-il préconisé.
Ghana:
Un dialogue sur le Fonds d’Investissement pour le Climat (CIF), organisé conjointement par la Banque Mondiale (BM) et la Banque Africaine de Développement (BAD) s’est tenu récemment à Accra.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’un effort mondial visant à nouer le dialogue avec des parties prenantes de la société civile, et le secteur privé, suivant des ateliers et similaires organisés récemment en Europe, en Asie et en Amérique du Nord en vue d’améliorer la structure et les opérations de gouvernance du CIF.
Congo-Brazzaville
Le président du bureau exécutif du Conseil départemental et municipal, le député-maire de la ville de Pointe-Noire, Jean François Kando, a appelé la population de la ville océane, à faire du planting d’arbres une action pérenne afin de lutter contre le changement climatique, rapporte l’agence +adiac+.
La ville veut voir chaque citoyen planter un arbre afin d’y augmenter non seulement la présence des arbres mais également lutter contre le réchauffement climatique.
