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Côte d’Ivoire-AIP/ Le CNDH fait une évaluation de la situation sanitaire et sécuritaire dans le contexte de la présidentielle


  28 Juillet      43        Santé (15361),

 

Abidjan, 28 juil 2020 (AIP)- Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a axé mardi 28 juillet 2020 à son siège à Abidjan, sa réflexion sur le thème, « Santé, sécurité et élections : quelle gouvernance », à la  29ème édition de son forum des droits de l’homme.

Pour le spécialiste en gouvernance électorale, N’Zi Moro Nicaise, les défis d’une élection libre, transparente et sans violence sont à relever par les populations en toute objectivité, en pensant à la communauté nationale. Il a indiqué que pour garantir des élections sans violence, elles doivent être libres, ouvertes et transparentes. « Lorsque vous avez eu une élection libre, il va de soi que vous aurez des élections sans violence », a-t-il assuré.

Il a exhorté les populations à comprendre que l’élection n’est pas la fin du monde, et recommandé que le vaincu au terme d’une élection, accepte sa défaite. « Les politiques créent des cadres de concertation lorsqu’il y a des points d’achoppement. Il faut que les forces de l’ordre soient respectées, (…), et que le recours aux juges soit l’ultime recours en cas de contestation », a-t-il affirmé.

Selon le spécialiste en histoire de la santé, Dr Anicet Zran, le risque sanitaire lié à la Covid-19 en période électorale reste indéniable, craignant une contamination massive des populations. Il a préconisé l’association de plusieurs entités, notamment le ministère de la santé, les experts en santé publique, les forces de sécurité, les sociologues (…), pour une organisation efficace du scrutin.

« Prenons nos dispositions car ces élections ne vont pas ressembler aux élections passées, organisées en Côte d’Ivoire », a prévenu Dr Zran.

Pour l’expert en Armées, Arthur Banga, les joutes électorales faisant craindre des violences sur le continent, il est important d’ores et déjà de renforcer les liens entre les populations et les forces de sécurité pour instaurer une dynamique de confiance. « Il faut faciliter la tâche aux forces de l’ordre parce qu’elles sont dans des dispositions difficiles et faisons le mieux qu’on peut pour arriver le mieux possible au 31 octobre », a-t-il indiqué.

En octobre 2020, la Côte d’Ivoire, se soumettra à une échéance électorale, l’élection présidentielle. Au-delà des implications politiques, cette élection a la particularité de se tenir dans un contexte pré-électoral marqué par une crise sanitaire, la pandémie du Coronavirus dont les chiffres de contamination journalière sont en hausse en dépit des mesures gouvernementales.

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