MAP L’envoyé du Président du Conseil présidentiel libyen exprime les remerciements de son pays à SM le Roi pour le soutien constant à la cause libyenne et souligne l’importance du renforcement de l’UMA APS SENEGAL-ECONOMIE / Saer Niang dit pourquoi le Sénégal mise sur les achats publics durables APS SENEGAL-MONDE-CLIMAT / Changement climatique : plus de 70% des travailleurs exposés aux risques sanitaires (OIT) APS SENEGAL-GOUVERNANCE / Mise en place d’un observatoire national de la démocratie participative APS AFRIQUE-MONDE-DEVELOPPEMENT / 10ème FRADD : le secrétaire exécutif de la CEA relève ‘’l’urgente” nécessité de se remettre sur la bonne voie pour atteindre les ODD – Agence de presse sénégalaise APS AFRIQUE-MONDE-DEVELOPPEMENT / Le 10 ème FRADD offre une nouvelle opportunité aux pays africains (officiel) ANP Ouverture du Forum sur les droits et inclusion numériques à Accra au Ghana Inforpress UCID considera que Governo deve “assumir em pleno” a questão dos voos inter-ilhas Inforpress Planalto Norte: Criadores com dificuldades em encontrar milho no mercado pedem apoio ao Governo na compra de ração Inforpress Língua Inglesa: Mais acesso a tecnologia contribuiu muito para melhoria do ensino e aprendizagem – professora

Investissements agricoles : l’UA regrette le  »scepticisme » des PTF et les  »hésitations » du secteur privé


  25 Janvier      31        Agriculture (4141),

 

Diamniadio, 25 jan (APS) – Le développement agricole de l’Afrique est freiné par le ‘’scepticisme’’ des partenaires techniques et financiers et les ‘’hésitations’’ du secteur privé africain, a estimé mercredi à Diamniadio (Dakar) Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine.

‘’Le potentiel agricole africain est énorme. Mais son exploitation se heurte au scepticisme des partenaires étrangers et aux hésitations du secteur privé africain et des institutions financières’’, a dit M. Mahamat.

Il prenait part à l’ouverture de la deuxième édition du sommet de Dakar sur l’agriculture ouvert mercredi au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio.

‘’Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience » est le thème du sommet, qui réunit plus de 1500 personnes, avec la participation de chefs d’Etats et de gouvernement, de ministres chargés de l’Economie et des Finances, de ministres d’Agriculture et des secteurs connexes, des gouverneurs de Banques centrales, des experts, des représentants d’organisations de production entre autres.

‘’La souveraineté alimentaire doit être l’âme de la lutte contre la pauvreté (…) comment pouvons-nous nous considérer comme des hommes libres, alors que nous dépendons d’autres pour vivre ?’’, s’est interrogé le président de la commission de l’UA.

Il a assuré que l’institution africaine dispose d’instruments de lutte qui ‘’pourraient appuyer les plans d’actions nationaux en matière d’agricultures’’.

Les présidents sénégalais (Macky Sall), malgache (Andry Rajoelina), équato-guinéen (Teodoro Obiang Nguema Mbasogo , kenyan (William Ruto), irlandais (Michaels D. Higgins), bissau guinéen (Umaro Sissoco Embaloà, togolais (Faure Gnassingbé), mauritanien (Mohammed Ould Ghazouani) et nigérian (Muhammadu Buhari), tanzanien (Samia Suhulu Hassana), zimbabwéen, zambien prennent part à la rencontre co-organisée avec la Banque africaine de développement.

Le président de la commission de l’Union africaine Moussa Faki Mahamat, le représentant du secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies Antonio Guitéréz, le vice-président de la Côte d’Ivoire Thiémoko Meyliet Koné, le Premier ministre marocain, Aziz Akhannouch, le Premier ministre di Niger entre autres personnalités.

Des acteurs du secteur privé, des organisations multilatérales, des organisations non gouvernementales, des universitaires et des scientifiques de premier plan prennent part à cette deuxième édition du sommet de Dakar sur la sécurité alimentaire.

La rencontre de trois jours à l’initiative de la Banque africaine de développement (BAD) vise à permettre aux pays de défendre devant les partenaires leurs stratégies de souveraineté alimentaire dans le but d’obtenir des financements conséquents auprès des bailleurs pour une meilleure exploitation du potentiel agricole africain. »

Dans la même catégorie