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L’accord de partage gazier entre le Sénégal et la Mauritanie augure un développement du secteur en Afrique (Chambre africaine de l’énergie)


  23 Janvier      156        Coopération (2207), Economie (20806), Photos (4436),

 

Dakar, 22 jan (APS) – L’accord de partage sénégalo-mauritanien des ressources gazières devant provenir du gisement « Grand Tortue Ahmeyim », situé aux larges des deux pays, constitue « un élément important » dans le développement de l’industrie des hydrocarbures en Afrique de l’Ouest, bien qu’il soit nécessaire de surveiller la capacité de deux Etats à résoudre d’éventuels différends, souligne la Chambre africaine de l’énergie.

« Le récent accord de coopération inter-gouvernementale entre le Sénégal et la Mauritanie, ainsi que de la décision finale d’investissement (FID) du groupe BP concernant son développement transfrontalier Grand Tortue Ahmeyim, sont de bon augure pour l’avenir de l’industrie des hydrocarbures en Afrique de l’Ouest », écrit-elle dans un communiqué.

Il note que ce projet « vise à extraire les 15 milliards de pieds cubes de gaz qui devraient être contenus dans le champ de gaz Tortue, situé à une profondeur de 2 850 mètres ».

« Cependant, la capacité du Sénégal et de la Mauritanie à résoudre leurs différends pour assurer un développement plus durable de leurs réserves et de leurs installations en mer est un facteur à surveiller », fait remarquer African Energy Chambrer.

« Le retour de l’Afrique sur la carte mondiale du pétrole et du gaz n’est pas seulement dû aux vastes ressources naturelles de ses sols et de ses eaux, mais également au fait que le continent abrite de très grands projets énergétiques destinés à transformer le futur de l’industrie », signale la structure, citant en exemple l’accord de coopération gouvernementale entre le Sénégal et la Mauritanie.

Les deux pays avaient signé le 21 décembre dernier, un accord de financement de leurs compagnies pétrolières nationales (PERTOSEN, pour le Sénégal, et SMHPM pour la Mauritanie), de la commercialisation du gaz naturel liquéfié, sans compter qu’ils se sont également entendus, dans le même cadre, sur la fiscalité applicable aux sous-traitants du projet transfrontalier.

Cet accord est venu compléter la première entente entérinée en février dernier dans la capitale mauritanienne par les présidents des deux pays, Macky Sall et Abdel Aziz. Il a ouvert la voie à une exploitation du gisement gazier offshore commun « Grand Tortue-Ahmeyim » (GTA) de 450 milliards de mètres cubes à partir de 2021.

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