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Le ministre Théodore Jousso annonce la mise en circulation prochaine de nouveaux documents relatifs à la circulation routière


  30 Août      81        Travaux publics (430),

 

Bangui, 29 août (ACAP) – Le ministre centrafricain des Transports et de l’Aviation civile, Théodore Jousso, a annoncé, lors d’un point de presse mardi 28 août 2018 à Bangui, l’arrivée à terme d’une réforme concernant les nouveaux documents sécurisés de la circulation routière qui seront remis, au mois de septembre prochain, aux plus hautes autorités du pays lors d’une cérémonie officielle.

L’objectif de ce point de presse est de fournir aux médias des éléments techniques permettant de comprendre la réforme et de l’expliquer au grand public.

Les nouveaux documents sécurisés concernent les plaques d’immatriculation, les permis de conduire, les certificats de capacité, les cartes crises, etc. dont certains sont dotés d’une puce électronique et d’autres de codes barres dont la falsification nécessite de gros investissements inutiles.

Le marché de cette réforme a été confié au Groupe Al Madina, une multinationale dont le siège se trouve à Oman, au Moyen orient. Une seule journée suffit pour que les pièces sollicitées soient fournies, après que le client ait payé les frais qui conviennent. Les bases de données, elles, sont entièrement numérisées et la société est en mesure d’évacuer un demi-millier de clients par jour.

Sont également touchés par cette réforme les engins à deux, trois, quatre, six, voire vingt-deux ou vingt-six roues. Les clients disposant de plaques d’immatriculation temporaires ont un mois pour les changer tandis que ceux qui ont des anciennes plaques normales ont trois mois pour les changer également.

Il y a lieu de rappeler que depuis deux ans, à la demande du gouvernement centrafricain, le ministère des Transports et de l’Aviation civile a suspendu la délivrance des documents se rapportant à la circulation routière. Les nombreux cas de fraude et surtout l’idée de mettre de l’ordre dans le secteur sont les raisons principales de cette réforme.

En effet, avec la crise qui a secoué la République centrafricaine depuis 2012, des automobiles et engins à deux, voire trois roues ont été volés. Il en est de même pour les documents officiels, à l’exemple des permis de conduire et cartes grises, qui ont été établis dans les quartiers, créant ainsi un net déséquilibre entre les données réelles du ministère et les réalités du terrain.

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