Porto-Novo, 18 Déc. 2018 (ABP)-L’ouverture ce lundi du procès de ICC-services devant la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) fortement relayée par les parutions parvenues à la rédaction de l’ABP ce mardi.
« Examen du dossier Icc-services à la Criet : les vérités de Pascal Koupaki » affiche en manchette « Le Matinal », qui fait savoir que beaucoup n’espéraient pas voir Pascal Irené Koupaki à l’audience ce lundi 17 décembre 2018 dans le cadre du dossier ICC Services. En effet, a poursuivi le journal, Pascal Irené Koupaki a effectué le déplacement et a déposé en qualité de sachant, précisant par ailleurs que la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a estimé qu’il faille entendre le ministre pour qu’il éclaire sa lanterne sur un certain nombre de points.
Parlant du même sujet « Matin Libre » met en exergue les propos de Pascal Irené Koupaki et Guy Aplogan. En page 2, le quotidien fait savoir que ce dernier a déclaré que « tout a commencé en 2006 avec la décision de mettre en place une structure d’entraide pour nos fidèles ».A l’en croire plusieurs rencontres ont eu lieu à la présidence de la République. En qualité de sachant, précise toujours Matin Libre, Pascal Irené Koupaki, a estimé ignorer tout au début de l’affaire Icc-services, car n’étant pas informé.
Le quotidien de service public « La Nation » dans sa publication du jour, informe que la supercherie se dénude, sous-titrant que Pascal Irené Koupaki est un exemple. « La Nation » informe qu’en acceptant d’aller faire sa déposition en toute humilité et de répondre aux questions des magistrats, même les plus délicates, le ministre a fait preuve d’une exemplarité rare.
ABP/KDD/CG