Porto-Novo, 7 Déc. 2018 (ABP) – La tenue à Cotonou hier du sommet international du développement électrique en Afrique (Side-Africa) abordée par les quotidiens parvenus à la rédaction de l’ABP ce vendredi.
« Eradication de la pauvreté énergétique en Afrique : Side-Africa, pour un développement électrique soutenu » confie L’Autre Quotidien avant de souligner que cette rencontre a mobilisé l’ensemble des acteurs intervenants dans le secteur de l’électricité sur le continent.
Le journal informe que, la journée d’hier a été consacrée aux perspectives pour l’électrification en Afrique ainsi qu’à l’usage du gaz électrique et que les activités retenues pour les trois jours du sommet tournent autour du thème « Gestion des risques pour une meilleure sécurité d’approvisionnement à moindre coût de l’énergie électrique ».
Le Matinal dans son analyse par rapport à Side-Africa, estime que le Bénin espère trouver dans l’interface qu’offre cette rencontre, des réponses pertinentes et innovantes qui concilient les solutions énergétiques.
Selon le ministre de l’énergie Jean-Claude Houssou, le Bénin est prêt à s’engager sur la mutualisation des expériences réussies, le partage de solutions techniques stratégiques, opérationnelles et financières éprouvées pour transformer le paradoxe énergétique africain en atouts pour le développement, rapporte le journal.
Le ministre de l’énergie de la Côte d’Ivoire, Thierry Tano présent à cette rencontre a fait remarquer que l’électricité est un facteur de développement social et par ricochet un secteur à très forte intensité capitaliste, relaie le quotidien La Presse du Jour.
D’après le quotidien de service public La Nation, cette rencontre qui réunit près de 300 participants, vise à identifier les solutions pour une meilleure gestion des risques liés à l’approvisionnement de l’énergie à moindre coût.
A Christian Adovèlandé, président de la BOAD de proposer que les politiques de développement dans ce domaine, prennent en compte désormais trois besoins notamment l’harmonisation du cadre réglementaire, l’accroissement des compétences techniques et la définition d’une vision d’orientation communautaire, ajoute La Nation.