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Une conférence à Sidi Slimane souligne le rôle de la diplomatie parallèle dans la défense des femmes séquestrées à Tindouf


  25 Novembre      89        Droits de l'Homme (669), Photos (4436), Société (45057),

 

Sidi Slimane, 25/11/2018 (MAP), Les intervenants à une conférence nationale organisée, dimanche à Sidi Slimane, ont mis en avant le rôle la diplomatie parallèle en tant qu’outil efficace de défense des droits des femmes séquestrées dans les camps de Tindouf au sud de l’Algérie.

Lors de cette rencontre, organisée par l’Instance nationale des droits de l’Homme en partenariat avec le ministère d’Etat chargé des droits de l’Homme, les participants ont mis l’accent sur la dégradation de la situation humanitaire dans les camps de Tindouf et les graves violations commises contre les femmes détenues, appelant à une mobilisation nationale et internationale en faveur de cette cause.

Ainsi, il a été appelé au renforcement des capacités de la société civile dans le cadre de la diplomatie parallèle pour être en mesure de défendre la cause juste des Marocains au niveau international.

S’exprimant à l’ouverture de la conférence, le vice-président exécutif de l’Instance nationale des droits de l’Homme, Omar Abkir, a indiqué que la situation des séquestrés constitue une violation flagrante du droit international humanitaire relevant que cette conférence s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par l’Instance, aux niveaux national et international, afin de sensibiliser l’opinion publique concernant cette situation.

Après avoir évoqué l’action de l’instance en la matière et son partenariat avec des acteurs associatifs, M. Abkir a donné un bref aperçu sur le processus historique de la question de l’intégrité territoriale du Maroc qui témoigne de l’allégeance liant les tribus sahraouis et le trône Alaouite.

Pour sa part, le professeur chercheur à l’université Mohammed V de Rabat, Noureddine Belhadad a appelé à une meilleure exploitation des fonds documentaires historiques pour défendre l’intégrité territoriale du Royaume au niveau international et à faire face aux manœuvres des ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume.

Condamnant les pratiques du polisario commises à l’encontre des femmes séquestrées, le chercheur a appelé au respect des conventions internationales en la matière pour mettre fin à ces souffrances qui persistent toujours.

Marquée par un vibrant hommage au professeur Noureddine Belhadad en reconnaissance de ses efforts ayant permis de mettre en lumière l’histoire du Sahara marocain, cette rencontre intervient dans une série de conférences données par l’Instance nationale des droits de l’Homme afin de promouvoir les droits des femmes séquestrées dans les camps de Tindouf et d’impliquer davantage la société civile et les militants des droits de l’homme dans la défense de cette cause.

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