GNA Time for Ghana to have a binding debt regime- Adongo GNA Bank of Ghana appoints Advisor for Universal Merchant Bank effective March 25 GNA Ghanaian businesses urged to be cautious of AI challenges GNA Second Session of Ghana-Kenya Permanent Joint Commission for Cooperation begins GNA CARE International graduates farmers under PROSPER project GNA GRA applauds Commissioner-General as he bows out of office GNA Farmers in Upper East bemoan poor patronage of local rice GNA Ave Crocodile Resort reopens to public GNA The private sector must play a pivotal role in Africa’s development- Mr Elumelu GNA COCOBOD Administrator commends women’s contributions to industry 

Cité du savoir de Diamniadio, un futur  »écosystème » pour la création d’entreprises et de start-up (Responsable)


  23 Janvier      20        Businesses (344), Environment (3677),

   

Dakar, 23 jan (APS) – La Cité du savoir de Diamniadio qui devrait ouvrir ses portes dès octobre 2019 sera un  »écosystème » pour favoriser la création d’entreprises et de start-up, a noté mardi le directeur de la recherche et de l’Innovation le Professeur Amadou Thierno Gaye.

La Cité du savoir est en construction dans la nouvelle ville de Diamniadio, dans le département de Rufisque, non loin de la capitale, Dakar.

Il s’agit d’un ensemble de projets regroupés sur un même site, et pour l’essentiel pilotés par le ministère de l’Enseignement supérieur.

La maison de la science, l’ISEP de Diamniadio, le siège de l’Université virtuelle du Sénégal (UVS), une médiathèque, une espace administratifs, entre autres, en sont les composantes.

Les étudiants de cette cité seront formés dans six domaines des sciences et technologies, qui ont trait à la robotique, à l’intelligence artificielle, à la big data, la génétique moléculaire, la simulation et calcul scientifique, la cybersécurité, a indiqué Professeur Amadou Thierno Gaye.

Il s’exprimait lors d’une conférence organisée à l’auditorium de Thiès, par African Performance Institute (API).

L’objectif de cette cité est de  »former très vite des étudiants dans ces filières », jusqu’aux niveaux Licence et Master à travers des formations interuniversitaires, mettant à contribution des enseignants sénégalais, d’autres pays africains, ainsi que d’autres parties du monde.

Ce projet devra favoriser un  »écosystème pour créer des entreprises et des start-ups », a dit le responsable.

Les contenus élaborés par une centaine de professeurs des universités sénégalaises, ont été validés lors d’un atelier international en septembre dernier, a-t-il dit à l’APS.

Le nombre d’étudiants dans les sciences et technologies a augmenté, passant de 20% en 2017 à 37% en 2018, a relevé le professeur Gaye, qui a salué les progrès du Sénégal en matière d’innovation.

Le pays a gagné six places dans le rapport 2018 du Global Innovation Index, publié par l’OMPI, a-t-il dit.

Dans la même catégorie