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Congo : Nécessite d’œuvrer à l’unisson pour faire du Congo le véritable bénéficiaire de la cartographie


  24 Novembre      34        Environment (3678),

   

Brazzaville, 24 Novembre (ACI) – Le Secrétaire permanent de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales (Sepcim-Aemec), M. Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, a souligné la nécessité d’œuvrer avec les acteurs en charge de la sécurité de la navigation maritime, de l’hydrographie, de la cartographie et de la formation en lien avec sa mission pour que le Congo soit le véritable bénéficiaire de la cartographie.

«Toute action, toute opération devrait concourir à l’unicité de commandement, à l’unité d’action, comme l’a rappelé le Premier ministre, Chef du gouvernement, président du Comité interministériel de l’Aemec à Pointe-Noire. Je crois que nous allons œuvrer ensemble pour que la République du Congo soit le véritable bénéficiaire», a-t-il dit M. Coussoud Mavoungou au cours de l’audience qu’il a accordée à la délégation de l’Institut géographique national (Ign), conduite par son directeur général, le Dr Etienne Paka.

A cette occasion, il a rappelé la mission confiée par le gouvernement congolais, sous l’autorité du Premier ministre, chef du gouvernement, dans le cadre du Comité interministériel de l’Aemec. Cette mission consiste à créer les conditions fédératives entre tout le monde, en synergie avec le Secrétariat permanent de l’Aemec.

Par ailleurs, M. Coussoud Mavoungou  a montré à ses hôtes la carte n°7.588, un exemple de la mise en œuvre de l’arrangement administratif signé entre le Congo et la France, remis par l’expert hydrographe de l’Organisation internationale (Ohi), M. Henri Dolou, à son département. A partir de cette carte, il a décrit les parcours, les règles d’abordage et les options à la navigation, suivant la Solas (Convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie humaine en mer telle que modifiée).

Selon lui, «Notre volonté est de faire en sorte que tous les points, obstacles ou autres à la navigation soient effectivement répertoriées afin que les navigateurs soient à l’aise. Dans les couloirs de navigation du Congo, avant d’entrer au port de Pointe-Noire, conformément au point d’atterrissage, ils sont obligés aussi de faire respecter le code Isps pour la sureté des navires et des installations portuaires», a-t-il fait savoir.

Par ailleurs, comme de coutume, il a remis à la délégation de l’Ign un bottin contenant les textes de l’Aemec et le discours du Premier ministre, prononcé le 8 novembre 2021 au 3ème Symposium des chefs d’Etat-major des marines nationales riveraines du Golfe de Guinée, publié dans le quotidien «Les «Dépêches de Brazzaville», ainsi que l’arrangement administratif entre le Congo (Papn) et la France pour le Service hydrographique et océanographe de la marine (Shom) qui est le point de départ de la présence de l’équipe de l’expert français en hydrographie, venu pour faire la revue nautique.

Faisant la restitution de sa mission au cours de cette audience, le directeur général de l’Institut géographique national (Ign), M. Etienne Paka, a fait savoir que M. Dolou a insisté sur l’échange des données nautiques entre les ministères. Toutefois, il a précisé que l’hydrographe a déploré le fait que chacun travailler de son côté.

L’échange entre les deux personnalités a porté sur le renforcement des capacités des ressources humaines qui, pour le moment, ne travaillent qu’avec la cartographie en milieu continental et non avec la cartographie maritime. L’intégration au Congo sur le SIG de la composante WGS84 a été évoquée pour la cartographie maritime à l’Ohi, a dit le directeur général de l’Ign.

De ce fait, des propositions ont été faites par l’expert français, notamment celles de travailler avec BREST, le Service hydrographique et océanographique de la marine (Shom) et l’Ign France, qui a une école à Paris, susceptible de proposer des formations au personnel. En revanche, l’Ign a été très intéressé par ce qui pouvait se faire entre les ministères. La question sur l’équipement technique a été aussi abordée.

La présence de l’Ign va permettre de conforter la position de la  République du Congo dans cet environnement ambiant qui est la mer et les eaux continentales.

Congo : Nécessite d’œuvrer à l’unisson pour faire du Congo le véritable bénéficiaire de la cartographie


  24 Novembre      32        Environment (3678),

   

Brazzaville, 24 Novembre (ACI) – Le Secrétaire permanent de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales (Sepcim-Aemec), M. Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, a souligné la nécessité d’œuvrer avec les acteurs en charge de la sécurité de la navigation maritime, de l’hydrographie, de la cartographie et de la formation en lien avec sa mission pour que le Congo soit le véritable bénéficiaire de la cartographie.

«Toute action, toute opération devrait concourir à l’unicité de commandement, à l’unité d’action, comme l’a rappelé le Premier ministre, Chef du gouvernement, président du Comité interministériel de l’Aemec à Pointe-Noire. Je crois que nous allons œuvrer ensemble pour que la République du Congo soit le véritable bénéficiaire», a-t-il dit M. Coussoud Mavoungou au cours de l’audience qu’il a accordée à la délégation de l’Institut géographique national (Ign), conduite par son directeur général, le Dr Etienne Paka.

A cette occasion, il a rappelé la mission confiée par le gouvernement congolais, sous l’autorité du Premier ministre, chef du gouvernement, dans le cadre du Comité interministériel de l’Aemec. Cette mission consiste à créer les conditions fédératives entre tout le monde, en synergie avec le Secrétariat permanent de l’Aemec.

Par ailleurs, M. Coussoud Mavoungou  a montré à ses hôtes la carte n°7.588, un exemple de la mise en œuvre de l’arrangement administratif signé entre le Congo et la France, remis par l’expert hydrographe de l’Organisation internationale (Ohi), M. Henri Dolou, à son département. A partir de cette carte, il a décrit les parcours, les règles d’abordage et les options à la navigation, suivant la Solas (Convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie humaine en mer telle que modifiée).

Selon lui, «Notre volonté est de faire en sorte que tous les points, obstacles ou autres à la navigation soient effectivement répertoriées afin que les navigateurs soient à l’aise. Dans les couloirs de navigation du Congo, avant d’entrer au port de Pointe-Noire, conformément au point d’atterrissage, ils sont obligés aussi de faire respecter le code Isps pour la sureté des navires et des installations portuaires», a-t-il fait savoir.

Par ailleurs, comme de coutume, il a remis à la délégation de l’Ign un bottin contenant les textes de l’Aemec et le discours du Premier ministre, prononcé le 8 novembre 2021 au 3ème Symposium des chefs d’Etat-major des marines nationales riveraines du Golfe de Guinée, publié dans le quotidien «Les «Dépêches de Brazzaville», ainsi que l’arrangement administratif entre le Congo (Papn) et la France pour le Service hydrographique et océanographe de la marine (Shom) qui est le point de départ de la présence de l’équipe de l’expert français en hydrographie, venu pour faire la revue nautique.

Faisant la restitution de sa mission au cours de cette audience, le directeur général de l’Institut géographique national (Ign), M. Etienne Paka, a fait savoir que M. Dolou a insisté sur l’échange des données nautiques entre les ministères. Toutefois, il a précisé que l’hydrographe a déploré le fait que chacun travailler de son côté.

L’échange entre les deux personnalités a porté sur le renforcement des capacités des ressources humaines qui, pour le moment, ne travaillent qu’avec la cartographie en milieu continental et non avec la cartographie maritime. L’intégration au Congo sur le SIG de la composante WGS84 a été évoquée pour la cartographie maritime à l’Ohi, a dit le directeur général de l’Ign.

De ce fait, des propositions ont été faites par l’expert français, notamment celles de travailler avec BREST, le Service hydrographique et océanographique de la marine (Shom) et l’Ign France, qui a une école à Paris, susceptible de proposer des formations au personnel. En revanche, l’Ign a été très intéressé par ce qui pouvait se faire entre les ministères. La question sur l’équipement technique a été aussi abordée.

La présence de l’Ign va permettre de conforter la position de la  République du Congo dans cet environnement ambiant qui est la mer et les eaux continentales.

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