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COP26 : plus de cent dirigeants s’engagent à stopper la déforestation d’ici à 2030


  2 Novembre      23        Environment (3678),

   

Kinshasa, 02 novembre 2021 (ACP).- Plus de cent dirigeants s’engagent à stopper la déforestation et la dégradation des terres d’ici à 2030, a estimé mardi le Premier ministre britannique Boris Johnson à l’occasion du sommet international sur le climat à Glasgow, en Écosse, rapporte un communiqué de ces assises.

Selon la source, parmi les pays impliqués, le Canada, la Russie, le Brésil (qui héberge 60% de la forêt amazonienne) et la République Démocratique du Congo. Des territoires représentant au total 85% des forêts du monde, soit une superficie de plus de 13 millions de kilomètres carrés.

Car les forêts, souligne la même source, véritables poumons de la planète capables d’absorber une partie du CO2 libéré chaque année, elles aussi l’activité humaine. « L’équivalent de 27 terrains de football de forêt est perdu chaque minute ». « Il s’agit de la plus grande avancée en matière de protection des forêts du monde depuis une génération», s’enthousiasme la présidence britannique.

Parmi les pays signataires, le Congo, la RDC et le Cameroun, le Brésil ou encore l’Indonésie, sur lesquels s’étendent les plus grandes forêts tropicales au monde. Et qui sont souvent critiqués pour la surexploitation de cette ressource ou leur manque d’engagements en faveur du climat.

Les États signataires s’engagent donc dans une série de mesures politiques et économiques en faveur notamment de la restauration des terres dégradées, la lutte contre les feux de forêt ou encore le soutien aux populations locales.

Ce nouvel engagement fait écho à la « Déclaration de New York sur les forêts » de 2014, quand de nombreux pays s’étaient engagés à diviser par deux la déforestation en 2020 et d’y mettre fin en 2030. Mais pour des ONG comme Greenpeace, l’objectif de 2030 est beaucoup trop loin dans le temps et donne ainsi le feu vert à « une décennie supplémentaire de déforestation »

COP26 : plus de cent dirigeants s’engagent à stopper la déforestation d’ici à 2030


  2 Novembre      31        Environment (3678),

   

Kinshasa, 02 novembre 2021 (ACP).- Plus de cent dirigeants s’engagent à stopper la déforestation et la dégradation des terres d’ici à 2030, a estimé mardi le Premier ministre britannique Boris Johnson à l’occasion du sommet international sur le climat à Glasgow, en Écosse, rapporte un communiqué de ces assises.

Selon la source, parmi les pays impliqués, le Canada, la Russie, le Brésil (qui héberge 60% de la forêt amazonienne) et la République Démocratique du Congo. Des territoires représentant au total 85% des forêts du monde, soit une superficie de plus de 13 millions de kilomètres carrés.

Car les forêts, souligne la même source, véritables poumons de la planète capables d’absorber une partie du CO2 libéré chaque année, elles aussi l’activité humaine. « L’équivalent de 27 terrains de football de forêt est perdu chaque minute ». « Il s’agit de la plus grande avancée en matière de protection des forêts du monde depuis une génération», s’enthousiasme la présidence britannique.

Parmi les pays signataires, le Congo, la RDC et le Cameroun, le Brésil ou encore l’Indonésie, sur lesquels s’étendent les plus grandes forêts tropicales au monde. Et qui sont souvent critiqués pour la surexploitation de cette ressource ou leur manque d’engagements en faveur du climat.

Les États signataires s’engagent donc dans une série de mesures politiques et économiques en faveur notamment de la restauration des terres dégradées, la lutte contre les feux de forêt ou encore le soutien aux populations locales.

Ce nouvel engagement fait écho à la « Déclaration de New York sur les forêts » de 2014, quand de nombreux pays s’étaient engagés à diviser par deux la déforestation en 2020 et d’y mettre fin en 2030. Mais pour des ONG comme Greenpeace, l’objectif de 2030 est beaucoup trop loin dans le temps et donne ainsi le feu vert à « une décennie supplémentaire de déforestation »

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