Dapaong, 19 juil. (ATOP) – Quinze journalistes des médias publics et privés des Savanes ont pris part, les 15 et 16 juillet à Dapaong, à un atelier de dynamisation et de formation du réseau des professionnels de médias pour la réduction des risques de catastrophes au niveau central et communautaire.
L’atelier est à l’actif du ministère de la Sécurité et de la Protection civile à travers l’Agence nationale de la protection civile (ANPC). Il est organisé dans le cadre du projet CREWS-Togo (initiative sur les risques climatiques et système d’alerte précoce) et a bénéficié de l’appui de la Banque mondiale (BM) et de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
L’objectif est de dynamiser les réseaux des professionnels de médias engagés pour la réduction des risques de catastrophes et des changements climatiques.
Les participants ont été entretenus sur des modules tels que « le cadre institutionnel de la gestion des risques de catastrophes au Togo, le cadre de Sendai 2015-2030, la coordination des situations d’urgence, la collaboration des services météorologiques pour la prévention des risques de catastrophes au Togo ».
Les journalistes ont aussi planché sur le rôle des professionnels des médias dans la gestion des risques de catastrophes et la communication en temps de crise sans oublier la définition des concepts clés en matière de gestion des crises et des données météorologiques.
Ouvrant les travaux, le secrétaire général de la préfecture de Tône, Esso Pirénéwè a exprimé sa gratitude au gouvernement et aux autorités de l’ANPC pour le travail abattu afin de minimiser les risques de catastrophes dans le pays. Pour lui, les médias ont un très grand rôle à jouer en matière de gestion de crises et de catastrophes d’où la nécessité pour eux d’accorder une attention particulière aux différentes communications pour mieux assumer leur mission.
Le chef d’antenne ANPC Dapaong, Cpt. Missika Faitaba a exhorté les professionnels de médias à mettre du sien pour qu’à l’issue de cette rencontre, leurs acquis puissent être profitables aux populations.
Dapaong, 19 juil. (ATOP) – Quinze journalistes des médias publics et privés des Savanes ont pris part, les 15 et 16 juillet à Dapaong, à un atelier de dynamisation et de formation du réseau des professionnels de médias pour la réduction des risques de catastrophes au niveau central et communautaire.
L’atelier est à l’actif du ministère de la Sécurité et de la Protection civile à travers l’Agence nationale de la protection civile (ANPC). Il est organisé dans le cadre du projet CREWS-Togo (initiative sur les risques climatiques et système d’alerte précoce) et a bénéficié de l’appui de la Banque mondiale (BM) et de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
L’objectif est de dynamiser les réseaux des professionnels de médias engagés pour la réduction des risques de catastrophes et des changements climatiques.
Les participants ont été entretenus sur des modules tels que « le cadre institutionnel de la gestion des risques de catastrophes au Togo, le cadre de Sendai 2015-2030, la coordination des situations d’urgence, la collaboration des services météorologiques pour la prévention des risques de catastrophes au Togo ».
Les journalistes ont aussi planché sur le rôle des professionnels des médias dans la gestion des risques de catastrophes et la communication en temps de crise sans oublier la définition des concepts clés en matière de gestion des crises et des données météorologiques.
Ouvrant les travaux, le secrétaire général de la préfecture de Tône, Esso Pirénéwè a exprimé sa gratitude au gouvernement et aux autorités de l’ANPC pour le travail abattu afin de minimiser les risques de catastrophes dans le pays. Pour lui, les médias ont un très grand rôle à jouer en matière de gestion de crises et de catastrophes d’où la nécessité pour eux d’accorder une attention particulière aux différentes communications pour mieux assumer leur mission.
Le chef d’antenne ANPC Dapaong, Cpt. Missika Faitaba a exhorté les professionnels de médias à mettre du sien pour qu’à l’issue de cette rencontre, leurs acquis puissent être profitables aux populations.