AIB Burkina : Le Premier ministre s’engage pour la restauration du parc Bangr Wéogo AIB Burkina : Plus de 10 milliards de FCFA engagés en 2024 pour booster la production locale de la volaille et du poisson APS SENEGAL-CULTURE-FINANCEMENT / Lancement officiel des activités du Fonds de développement des cultures urbaines et des industries créatives AGP Dialogue national : le président Oligui Nguema échange avec les membres du bureau AGP Gabon : Bientôt un recensement des biens de l’Etat AGP Coopération Gabon-France : un forum économique en perspective APS SENEGAL-PRESIDENTIELLE / Bassirou Diomaye Faye reçu en audience par Macky Sall MAP Afrique du Sud: Zuma exclu des prochaines élections (Commission électorale) MAP La CAF annonce les dates des finales de la Ligue des Champions et de la Coupe de la Confédération MAP Afrique du Sud: 45 morts dans un accident d’autocar au Limpopo

LES TRAVAUX D’UNE CENTRALE ÉLECTRIQUE DE 300 MÉGAWATTS LANCÉS AU CAP DES BICHES


  31 Mars      64        Environnement/Eaux/Forêts (6389),

 

Rufisque, 31 mars (APS) – La ministre du Pétrole et des Energies, Sophie Gladima, a procédé à la pose de la première pierre d’une centrale électrique de 300 mégawatts au Cap des Biches, dans le département de Rufisque (ouest), a constaté l’APS, mercredi.

L’infrastructure sera « la plus grande » centrale électrique « jamais construite en Afrique de l’Ouest », a déclaré Mme Gladima lors d’une cérémonie marquant le début de la construction de l’ouvrage, en présence de plusieurs personnalités, experts, investisseurs et élus territoriaux.

« Cette centrale sera la première de cette taille à être construite au Sénégal, mais également en Afrique de l’Ouest. Elle est entièrement financée par des fils de ce pays », a-t-elle dit.

La construction de l’infrastructure marque « un grand saut qualitatif » dans le domaine de l’énergie au Sénégal, a souligné la ministre du Pétrole et des Energies, assurant que la centrale électrique permettra au Sénégal d’augmenter ses « capacités de production ».

Selon un document de presse du ministère du Pétrole et des Energies, l’ouvrage va coûter 220 milliards de francs CFA « entièrement » fournis par des membres du secteur privé national réunis au sein d’un consortium baptisé West African Energy et dirigé par l’ancien ministre de l’Energie, Samuel Sarr.

Selon la même source, il est construit en vue de « la disponibilité permanente de l’énergie à moindre coût », dans le souci du président de la République, Macky Sall, de « stimuler l’investissement par les privés nationaux ».

Dans la même catégorie