AIP Une plateforme digitale des créateurs africains lancée AIP Des acteurs privés de santé renforcent leurs capacités en technique pratique de gestion de trésorerie de leurs entreprises AIP L’Union européenne octroie des prêts pour accompagner les femmes entrepreneurs en Côte d’Ivoire (Ambassadrice) AIP Protection de l’environnement : l’Arabie Saoudite lance l’initiative verte à Abidjan AIP Les sages-femmes et institutrices unissent leurs efforts pour favoriser la scolarisation des jeunes filles AIP REVUE DE PRESSE : Des sujets liés à la politique nationale font la Une des journaux ce jeudi AIP Rupture collective œcuménique du jeûne: Nassénéba Touré prône la solidarité AIP Kandia Camara félicite l’Allemagne pour la dynamique de la coopération bilatérale AIB L’association CAMEG devient une société d’Etat pour consacrer la souveraine du Burkina dans le secteur du médicament AIB Veille citoyenne : Un Chargé de mission rend visite aux »wayiyans »

Burkina : Marcel Belem dépeint les réalités du cyclisme burkinabè d’avant et d’aujourd’hui


  30 Octobre      84        Sport (12588),

 

Ouagadougou, 29 oct. 2021 (AIB)- le journaliste sportif des Editions Sidwaya, Marcel Belem admis à la retraite, a dépeint vendredi, les réalités du cyclisme burkinabè d’avant et d’aujourd’hui, en affirmant  que la situation devient de plus en plus  précaire.
Selon le doyen Marcel Belem, le cyclisme burkinabè d’avant  était géré par des hommes de confiance (copains puis amis) et  personne ne doutait sur leur compétence.
A en croire M. Belem, de grands champions  attiraient avant les jeunes vers le cyclisme tout en soulignant que son accès était gratuit sauf qu’à l’entrée on déboursait la somme de 100  ou 200 FCFA.
Le journaliste sportif des Editions Sidwaya à la retraite a également fait savoir qu’il n’existait pas auparavant d’école de préparation pour les cyclistes burkinabè.
« De nos jours, dans  le cyclisme burkinabè,  tous les 90% des dirigeants viennent pour se servir du  cyclisme, d’autres  ont été poussés. Il y a ceux qui viennent par intérêt (surtout avec le tour du Faso pensant qu’il y avait à  manger). Ce n’est pas pour diriger le cyclisme », a-t-il soutenu.
A écouter Marcel Belem, certains exercent bien leur fonction parce qu’ils sont venus au cyclisme  par amour.
Le doyen a, par ailleurs, signalé que les dirigeants d’aujourd’hui ne sont pas de vrais dirigeants car, selon lui, ils ne savent pas concevoir un plan de développement.
M. Belem a noté que le cyclisme burkinabè régresse de nos jours avec la multitude d’écoles de formation à cause d’un manque de bons dirigeants pour le hisser au plan national, régional et international .

Dans la même catégorie