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Des recommandations pour donner un nouveau souffle à la Sopéco


  18 Mai      105        Economie et Finance (826),

 

BRAZZAVILLE, 18 MAI (ACI) – Les membres du comité de direction de la Société des postes et de l’épargne du Congo (Sopéco) ont recommandé au gouvernement, le 17 mai à Brazzaville, d’assainir le climat social de la Sopéco et de porter une attention particulière sur la situation administrative et financière des retraités quant à la prise en compte de leurs droits.

Au cours de la réunion dudit comité, organisée sous le patronage de son président, M. Jean Joseph Paka, les membres ont aussi recommandé des délibérations sur les situations de la Sopéco à adresser au gouvernement, en vue de leur présentation en conseil des ministres et de trouver des solutions idoines pour la survie de cette entreprise.

S’agissant des délibérations, il est question de doter la Sopéco d’une existence juridique, l’engagement de l’Etat, propriétaire de la Sopéco, de prendre ses responsabilités pour la résolution de la crise actuelle. Il est aussi question de la prise en charge de la dette de la Sopéco par l’Etat, de l’inventaire des riches ressources de la Sopéco et de l’adoption des procédures comptables et financières.

Au regard de toutes les difficultés de cette société, la directrice générale de la Sopéco, Mme Ludovique Mbossa Mabwere, a sollicité que son entreprise soit dotée d’un véritable capital social, d’un patrimoine qui n’a jamais été défini, afin de donner à sa structure la possibilité de se développer comme une vraie compagnie et en la valorisant davantage pour contribuer à la formation du capital social.

Elle a précisé que la Sopéco a un potentiel énorme, avec un partenaire à ses côté, avant de déplorer le manque d’outils nécessaires, contrairement à la concurrence. Selon elle, cette entreprise est très riche, mais a mal commencé sa croissance, d’où il est temps de redresser la société. De ce fait, elle a exhorté les postiers à valoriser son potentiel.

Poursuivant son propos, elle a fait savoir que la Sopéco a un potentiel et une opportunité de pouvoir aller de l’avant, cela par son caractère d’inclusion financière et sociale, ainsi que par le fait qu’elle participe à l’aménagement du territoire pour ramener les services auprès des populations.

Mme Mbossa Mabwere a dit que la poste, en s’arrimant au numérique, va accroître ses parts de marché et va répondre aux attentes des populations. «La poste n’est pas morte, mais est en train de se transformer, de se renouveler et de se diversifier», a-t-elle ajouté.

Malgré les difficultés structurelles qui minent cette entreprise, elle s’est dite confiante en la renaissance de sa structure. «On ne peut pas parler de la dissolution de la Sopéco. Nous n’avons pas donné la chance à cette société depuis sa création», a-t-elle indiqué.

La Sopéco est née des centres de l’Office national des postes et télécommunications (Onpt). La liquidation de cette ancienne entreprise n’a pas été finalisée. Cela a eu pour conséquences l’accumulation de 28 mois de salaires impayés, le paiement des indemnités de fin de carrière aléatoire et une prise en charge des pensions de retraite inexistence. (ACI)

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