Abidjan, 16 mars 2024 (AIP) – Le vice-président de la Société financière internationale (IFC) pour l’Afrique, Sérgio Pimenta, sera en visite en Côte d’Ivoire du 18 au 19 mars afin de réaffirmer l’engagement d’IFC à renforcer son soutien au secteur privé ivoirien, à la croissance économique et la création d’emplois, rapporte un communiqué de presse transmis à l’AIP. |
Accompagné des équipes de direction d’IFC en Afrique représentant les secteurs des infrastructures, de l’industrie manufacturière, de l’agroalimentaire, des services et des industries financières, M. Pimenta rencontrera la ministre de l’Economie, du Plan et du développement, Kaba Nialé, son collègue des Finances et du Budget, Adama Coulibaly, d’autres membres du gouvernement ainsi que des représentants du secteur privé. |
Les discussions porteront sur la manière dont IFC peut accompagner la mise en œuvre du Plan national de développement de la Côte d’Ivoire (PND 2021-2025), en renforçant notamment ses investissements dans le logement abordable, l’agro-industrie, la santé, les infrastructures (y compris les infrastructures numériques), le développement des marchés des capitaux et le financement des micro, petites et moyennes entreprises (MPME). |
Le programme d’IFC en Côte d’Ivoire est le plus important portefeuille de la zone de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et l’un des plus importants d’Afrique. En mars 2024, le total des investissements et services-conseils d’IFC dans le pays s’élève à 595 millions de dollars, avec des interventions dans l’agroalimentaire, les infrastructures, l’énergie, les services financiers, la santé et le financement des MPME. |
Membre du Groupe Banque mondiale, la Société financière internationale est la plus grande institution mondiale de développement axée sur le secteur privé dans les pays émergents. IFC travaille dans plus de 100 pays, pour créer des marchés et des opportunités. Au cours de l’exercice 2023, elle a engagé un montant record de 43,7 milliards de dollars auprès d’entreprises privées et d’institutions financières dans les pays en développement, tirant parti du pouvoir du secteur privé pour mettre fin à l’extrême pauvreté et stimuler la prospérité partagée alors que les économies sont aux prises avec les effets des crises mondiales aggravantes. |