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Bulletin de l’écologie de l’Afrique

Rabat, 01/08/2019 (MAP)- Voici le bulletin de l’écologie de l’Afrique pour la journée du jeudi 1er août :

Sénégal:

–L’inspecteur régional des eaux et forêts de Thiès, le lieutenant-colonel Birame Dieng, a évoqué, mercredi, les « défis » que doit relever le service forestier régional, dont notamment l’élaboration de plans d’aménagement au profit de toutes les forêts du Plateau de Thiès.

Les « défis », selon Birame Dieng, consistent à « doter toutes ces forêts du Plateau de Thiès d’un plan d’aménagement, pour prendre en compte les préoccupations des populations riveraines ».

En même temps, l’ingénieur des eaux et forêts a préconisé de « mettre l’accent sur des ouvrages antiérosifs, afin de contribuer efficacement à la lutte contre les inondations récurrentes ».

Nigeria :

–Le gouvernement nigérian essaie d’obtenir des développeurs de centrales solaires, une baisse des tarifs de rachat d’électricité. Les investisseurs concernés sont ceux avec lesquels le pays a signé en juillet 2016, des accords pour l’implantation de centrales solaires photovoltaïques d’une capacité globale de 1075 MW.

Il s’agit en tout de 14 projets logés dans le Nord du pays et ayant une capacité comprise entre 50 et 100 MW, rapporte la presse locale.

Selon la même source, le gouvernement considère que les prix convenus, il y a trois ans, sont trop élevés et désire obtenir leur diminution par les producteurs. En retour, il offrira des garanties financières plus solides, fournies par la BAD et la Banque mondiale afin de prévenir tout éventuel défaut de paiement.

 

RDC :

–L’ONG congolaise CODELT plaide pour l’application par l’autorité urbaine des nouvelles mesures du gouvernement interdisant la production des emballages plastique en République démocratique du Congo (RDC), en vue de la réussite de son programme « Kin bopeto ».

Moïse Mbaya membre de cette ONG, cité par l’ACP, a déploré le fait que l’arrêté du ministre de l’industrie signé 2017 et entré en vigueur depuis juillet 2018, n’est pas toujours d’application à Kinshasa, ou les usines productrices de ces articles continuent à opérer, favorisant ainsi une présence accrue des sachets et des bouteilles plastiques à chaque rue de la capitale.