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LE DG DE L’ANSD RAPPELLE L’IMPORTANCE DE LA CARTOGRAPHIE CENSITAIRE


  14 Février      92        Society (33428),

   

Dakar, 14 fév (APS) – Le directeur général de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), professeur Allé Nar Diop, a rappelé, lundi, l’importance de la cartographie censitaire, dont la fonction consiste à « délimiter l’habitat » et « définir la charge de travail qui incombe aux cartographes sur le terrain », en perspective du recensement général de la population, en 2023.

« La cartographie censitaire est une phase très importante, en ce sens qu’elle permet de délimiter l’habitat mais également de définir la charge de travail qui reviendra à l’ensemble des cartographes sur le terrain », a-t-il expliqué.

Il s’exprimait, lundi, à l’occasion du lancement de l’atelier de formation des agents chargés de mener la cartographie censitaire générale du 5ème Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5). Cette formation va durer 15 jours (14 février-4 mars).

Allé Nar Diop précise que ce recensement, prévu durant le second semestre de l’année 2023, permettra d’avoir une estimation exacte de la population sénégalaise.

« La cartographie est importante parce qu’elle permet d’avoir une première estimation non seulement de la population mais de la taille des infrastructures », a expliqué M. Diop.

Il a indiqué que quelque 290 agents sont concernés par cette formation sur le dispositif organisationnel mis en place, en vue notamment de les amener à appréhender l’architecture informatique qui permettra de collecter les informations.

Jean Pierre Bahoum, le coordonnateur de cette opération, explique que ce 5ème recensement s’inscrit en droite ligne de la recommandation des Nations unies d’organiser un recensement tous les 10 ans.

Il est également organiser dans le but de « respecter les engagements internationaux vis-à-vis de l’évaluation des projets et programmes (…) ».

« Après cette formation, déclare-t-il, les agents seront déployés jusqu’en fin décembre 2022, pour faire la cartographie du pays en essayant de collecter toutes les informations relatives aux unités d’habitation, aux infrastructures, aux ménages et aux concessions. »

Il a indiqué que durant la période de cartographie, une phase pilote sera déroulée vers le mois de juin 2022, pour tester le grand dénombrement.

« En 2023, on va entamer les activités préparatoires du grand dénombrement avec le recrutement des agents au mois de mars 2023, suivi d’une formation en mai », a-t-il ajouté.

M. Bahoum a indiqué que la réalisation du RGPH, en 2023, répond notamment à la nécessité de mettre à jour la principale source de données sociodémographique, suite aux nombreuses mutations observées dans la société sénégalaise.

Il a rappelé que le Conseil économique et social des Nations unies a demandé aux pays en développement d’organiser un recensement durant la période 2015/2023.

Au Sénégal, l’article 18 de la loi statistique du 3 janvier 2012 rend obligatoire la réalisation du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5).

Ce cinquième recensement général s’inscrit dans la troisième stratégie nationale de développement de la statistique (SNDS 2019-2023).

LE DG DE L’ANSD RAPPELLE L’IMPORTANCE DE LA CARTOGRAPHIE CENSITAIRE


  14 Février      94        Society (33428),

   

Dakar, 14 fév (APS) – Le directeur général de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), professeur Allé Nar Diop, a rappelé, lundi, l’importance de la cartographie censitaire, dont la fonction consiste à « délimiter l’habitat » et « définir la charge de travail qui incombe aux cartographes sur le terrain », en perspective du recensement général de la population, en 2023.

« La cartographie censitaire est une phase très importante, en ce sens qu’elle permet de délimiter l’habitat mais également de définir la charge de travail qui reviendra à l’ensemble des cartographes sur le terrain », a-t-il expliqué.

Il s’exprimait, lundi, à l’occasion du lancement de l’atelier de formation des agents chargés de mener la cartographie censitaire générale du 5ème Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5). Cette formation va durer 15 jours (14 février-4 mars).

Allé Nar Diop précise que ce recensement, prévu durant le second semestre de l’année 2023, permettra d’avoir une estimation exacte de la population sénégalaise.

« La cartographie est importante parce qu’elle permet d’avoir une première estimation non seulement de la population mais de la taille des infrastructures », a expliqué M. Diop.

Il a indiqué que quelque 290 agents sont concernés par cette formation sur le dispositif organisationnel mis en place, en vue notamment de les amener à appréhender l’architecture informatique qui permettra de collecter les informations.

Jean Pierre Bahoum, le coordonnateur de cette opération, explique que ce 5ème recensement s’inscrit en droite ligne de la recommandation des Nations unies d’organiser un recensement tous les 10 ans.

Il est également organiser dans le but de « respecter les engagements internationaux vis-à-vis de l’évaluation des projets et programmes (…) ».

« Après cette formation, déclare-t-il, les agents seront déployés jusqu’en fin décembre 2022, pour faire la cartographie du pays en essayant de collecter toutes les informations relatives aux unités d’habitation, aux infrastructures, aux ménages et aux concessions. »

Il a indiqué que durant la période de cartographie, une phase pilote sera déroulée vers le mois de juin 2022, pour tester le grand dénombrement.

« En 2023, on va entamer les activités préparatoires du grand dénombrement avec le recrutement des agents au mois de mars 2023, suivi d’une formation en mai », a-t-il ajouté.

M. Bahoum a indiqué que la réalisation du RGPH, en 2023, répond notamment à la nécessité de mettre à jour la principale source de données sociodémographique, suite aux nombreuses mutations observées dans la société sénégalaise.

Il a rappelé que le Conseil économique et social des Nations unies a demandé aux pays en développement d’organiser un recensement durant la période 2015/2023.

Au Sénégal, l’article 18 de la loi statistique du 3 janvier 2012 rend obligatoire la réalisation du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5).

Ce cinquième recensement général s’inscrit dans la troisième stratégie nationale de développement de la statistique (SNDS 2019-2023).

LE DG DE L’ANSD RAPPELLE L’IMPORTANCE DE LA CARTOGRAPHIE CENSITAIRE


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Dakar, 14 fév (APS) – Le directeur général de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), professeur Allé Nar Diop, a rappelé, lundi, l’importance de la cartographie censitaire, dont la fonction consiste à « délimiter l’habitat » et « définir la charge de travail qui incombe aux cartographes sur le terrain », en perspective du recensement général de la population, en 2023.

« La cartographie censitaire est une phase très importante, en ce sens qu’elle permet de délimiter l’habitat mais également de définir la charge de travail qui reviendra à l’ensemble des cartographes sur le terrain », a-t-il expliqué.

Il s’exprimait, lundi, à l’occasion du lancement de l’atelier de formation des agents chargés de mener la cartographie censitaire générale du 5ème Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5). Cette formation va durer 15 jours (14 février-4 mars).

Allé Nar Diop précise que ce recensement, prévu durant le second semestre de l’année 2023, permettra d’avoir une estimation exacte de la population sénégalaise.

« La cartographie est importante parce qu’elle permet d’avoir une première estimation non seulement de la population mais de la taille des infrastructures », a expliqué M. Diop.

Il a indiqué que quelque 290 agents sont concernés par cette formation sur le dispositif organisationnel mis en place, en vue notamment de les amener à appréhender l’architecture informatique qui permettra de collecter les informations.

Jean Pierre Bahoum, le coordonnateur de cette opération, explique que ce 5ème recensement s’inscrit en droite ligne de la recommandation des Nations unies d’organiser un recensement tous les 10 ans.

Il est également organiser dans le but de « respecter les engagements internationaux vis-à-vis de l’évaluation des projets et programmes (…) ».

« Après cette formation, déclare-t-il, les agents seront déployés jusqu’en fin décembre 2022, pour faire la cartographie du pays en essayant de collecter toutes les informations relatives aux unités d’habitation, aux infrastructures, aux ménages et aux concessions. »

Il a indiqué que durant la période de cartographie, une phase pilote sera déroulée vers le mois de juin 2022, pour tester le grand dénombrement.

« En 2023, on va entamer les activités préparatoires du grand dénombrement avec le recrutement des agents au mois de mars 2023, suivi d’une formation en mai », a-t-il ajouté.

M. Bahoum a indiqué que la réalisation du RGPH, en 2023, répond notamment à la nécessité de mettre à jour la principale source de données sociodémographique, suite aux nombreuses mutations observées dans la société sénégalaise.

Il a rappelé que le Conseil économique et social des Nations unies a demandé aux pays en développement d’organiser un recensement durant la période 2015/2023.

Au Sénégal, l’article 18 de la loi statistique du 3 janvier 2012 rend obligatoire la réalisation du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-5).

Ce cinquième recensement général s’inscrit dans la troisième stratégie nationale de développement de la statistique (SNDS 2019-2023).

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