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LE LANCEMENT DE ‘’SUNU YEUF’’ SUR LE BOUQUET CANAL+ SALUÉ PAR DES PRODUCTEURS


  7 Novembre      20        Media (1875),

   

Dakar, 6 nov (APS) – Des producteurs et réalisateurs sénégalais
saluent le lancement sur le bouquet Canal+ de ‘’Sunu Yeuf’’, chaîne de
télévision dédiée exclusivement aux séries sénégalaises, estimant
qu’elle allait générer des ressources supplémentaires en plus d’être
un nouveau canal de diffusion de la production sénégalaise.

La chaine Sunu Yeuf, télé bi niou mom’’ va notamment commencer sa
diffusion jeudi sur le bouquet de la chaine cryptée française Canal+.

‘’+Sunu yeuf+ est un canal de diffusion supplémentaire. Pour qu’une
production soit rentable aujourd’hui, il faut le diffuser sur
plusieurs canaux et cette chaine est un canal et une source de revenu
supplémentaire’’, souligne ainsi Serigne Massamba Ndour.

Ndour, fondateur de Marodi Tv, structure à l’origine de la production
de plusieurs séries diffusées sur des chaines de télévision locales,
signale que la télévision française achète des séries et théâtres déjà
‘’amortis’’ et diffusés sur les chaines locales.

Il cite l’exemple des séries ‘’Pod et Marichou’’ dont la saison 2 sera
diffusée sur ‘’Sunu yeuf’’, de ‘’Dikon’’ (saison 2), de ‘’Idoles’’
(saison 6) et de ‘’Mbettel’’ (saison 3).

‘’Si nos productions sont rentables aujourd’hui, c’est parce qu’elles
ont été diffusées sur nos télévisions locales qui ont créé
l’attractivité qui permet de financer la production. Nos productions
sont financées par les annonceurs’’, fait remarquer le fondateur de
Marodi Tv.

Il insiste sur le fait que les séries sénégalaises n’auraient pas été
pas rentables si elles n’avaient pas été diffusées sur les télévisions
locales. Selon le producteur, l’enjeu principal se trouve désormais
dans la qualité du contenu.

Le réalisateur et producteur Leuz Niang a de son côté mis en avant la
concurrence que ’Sunu yeuf’’ va stimuler en raison de la difficulté
notée jusque-là de diffuser sur les télévisions locales’’.

‘’Certaines télévisions locales exigeaient des conditions hors de
portée surfant sur leur audience, d’autres devenues des producteurs
mettent en avant beaucoup d’intérêts’’, déplore Leuz Niang réalisateur
de la série ‘’Dinama Nekh’’.

Il était devenu compliqué de diffuser sur les télévisions nationales
au point certains producteurs en sont venus à créer d’autres
plateformes de diffusion sur Internet.

‘’C’est la raison pour laquelle la chaine +Sunu yeuf+ vient au bon
moment. Avec la vente de nos produits, possibilité nous sera donnée de
produire davantage et de générer de l’emploi’’, espère-t-il.

Hamidou Djigo qui ne diffuse ses productions (Dinama Nekh saison 1,
Bour Guéwel, Keur baye, etc) que sur le web avec sa chaine
‘’Senepeople’’ abonde dans le même sens.

‘’Cette chaine de +Canal+ nous permet d’avoir un peu d’argent de plus
parce que ce sont des films déjà passés. Cela permet de gagner encore
plus d’argent’’, se réjouit-il

Djigo basé à Paris travaille avec d’autres producteurs sénégalais,
estime par ailleurs que la production coûte très chère alors que les
télévisions sénégalaises ne paient pas.

‘’Le producteur doit chercher des sponsors et après partager avec la
télévision locale’’, soutient-il.

Le producteur sénégalais gagne une possibilité de vendre son œuvre à
un nouvel acteur, il a une ouverture de déboucher de ses produits. Le
panel d’acheteurs s’est élargi’’, réagi Sébastien Punturello,
directeur général de Canal+ Sénégal.

Selon lui, le fait d’acheter des séries ‘’amorties’’ est ‘’un partie pris’’.

‘’La vocation de la chaine est de proposer une grille simple pour les
téléspectateurs qui s’y retrouvent avec des rendez-vous réguliers et
un catalogue d’une quarantaine de séries et une cinquantaine de pièces
théâtrale par an’’, détaille le directeur de Canal+ Sénégal.

Elle va proposer du lundi au vendredi quatre séries et du théâtre le
dimanche. Elle est à l’image de ‘’A+ Ivoire’’ pour la Côte d’Ivoire et
de ‘’A+’’ la chaine panafricaine de Canal +.

LE LANCEMENT DE ‘’SUNU YEUF’’ SUR LE BOUQUET CANAL+ SALUÉ PAR DES PRODUCTEURS


  7 Novembre      24        Media (1875),

   

Dakar, 6 nov (APS) – Des producteurs et réalisateurs sénégalais
saluent le lancement sur le bouquet Canal+ de ‘’Sunu Yeuf’’, chaîne de
télévision dédiée exclusivement aux séries sénégalaises, estimant
qu’elle allait générer des ressources supplémentaires en plus d’être
un nouveau canal de diffusion de la production sénégalaise.

La chaine Sunu Yeuf, télé bi niou mom’’ va notamment commencer sa
diffusion jeudi sur le bouquet de la chaine cryptée française Canal+.

‘’+Sunu yeuf+ est un canal de diffusion supplémentaire. Pour qu’une
production soit rentable aujourd’hui, il faut le diffuser sur
plusieurs canaux et cette chaine est un canal et une source de revenu
supplémentaire’’, souligne ainsi Serigne Massamba Ndour.

Ndour, fondateur de Marodi Tv, structure à l’origine de la production
de plusieurs séries diffusées sur des chaines de télévision locales,
signale que la télévision française achète des séries et théâtres déjà
‘’amortis’’ et diffusés sur les chaines locales.

Il cite l’exemple des séries ‘’Pod et Marichou’’ dont la saison 2 sera
diffusée sur ‘’Sunu yeuf’’, de ‘’Dikon’’ (saison 2), de ‘’Idoles’’
(saison 6) et de ‘’Mbettel’’ (saison 3).

‘’Si nos productions sont rentables aujourd’hui, c’est parce qu’elles
ont été diffusées sur nos télévisions locales qui ont créé
l’attractivité qui permet de financer la production. Nos productions
sont financées par les annonceurs’’, fait remarquer le fondateur de
Marodi Tv.

Il insiste sur le fait que les séries sénégalaises n’auraient pas été
pas rentables si elles n’avaient pas été diffusées sur les télévisions
locales. Selon le producteur, l’enjeu principal se trouve désormais
dans la qualité du contenu.

Le réalisateur et producteur Leuz Niang a de son côté mis en avant la
concurrence que ’Sunu yeuf’’ va stimuler en raison de la difficulté
notée jusque-là de diffuser sur les télévisions locales’’.

‘’Certaines télévisions locales exigeaient des conditions hors de
portée surfant sur leur audience, d’autres devenues des producteurs
mettent en avant beaucoup d’intérêts’’, déplore Leuz Niang réalisateur
de la série ‘’Dinama Nekh’’.

Il était devenu compliqué de diffuser sur les télévisions nationales
au point certains producteurs en sont venus à créer d’autres
plateformes de diffusion sur Internet.

‘’C’est la raison pour laquelle la chaine +Sunu yeuf+ vient au bon
moment. Avec la vente de nos produits, possibilité nous sera donnée de
produire davantage et de générer de l’emploi’’, espère-t-il.

Hamidou Djigo qui ne diffuse ses productions (Dinama Nekh saison 1,
Bour Guéwel, Keur baye, etc) que sur le web avec sa chaine
‘’Senepeople’’ abonde dans le même sens.

‘’Cette chaine de +Canal+ nous permet d’avoir un peu d’argent de plus
parce que ce sont des films déjà passés. Cela permet de gagner encore
plus d’argent’’, se réjouit-il

Djigo basé à Paris travaille avec d’autres producteurs sénégalais,
estime par ailleurs que la production coûte très chère alors que les
télévisions sénégalaises ne paient pas.

‘’Le producteur doit chercher des sponsors et après partager avec la
télévision locale’’, soutient-il.

Le producteur sénégalais gagne une possibilité de vendre son œuvre à
un nouvel acteur, il a une ouverture de déboucher de ses produits. Le
panel d’acheteurs s’est élargi’’, réagi Sébastien Punturello,
directeur général de Canal+ Sénégal.

Selon lui, le fait d’acheter des séries ‘’amorties’’ est ‘’un partie pris’’.

‘’La vocation de la chaine est de proposer une grille simple pour les
téléspectateurs qui s’y retrouvent avec des rendez-vous réguliers et
un catalogue d’une quarantaine de séries et une cinquantaine de pièces
théâtrale par an’’, détaille le directeur de Canal+ Sénégal.

Elle va proposer du lundi au vendredi quatre séries et du théâtre le
dimanche. Elle est à l’image de ‘’A+ Ivoire’’ pour la Côte d’Ivoire et
de ‘’A+’’ la chaine panafricaine de Canal +.

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