GNA GRA sensitises market women on tax compliance  GNA Energy, Finance Ministries must provide funding to fix energy challenges – IES GNA Construction of one-storey shopping mall to commence in Damongo GNA EU prioritises sustainable cashew production, economic growth GNA Reintroduce Fiscal Responsibility Act to tackle election budget overrun GNA Table tennis player appeals to investors to explore opportunities in the sport GNA Serene Insurance renews commitment to Accra Inter-City Homowo Marathon GNA Godwin Attram, Maxwell Konadu, three others earn national team appointments MAP CAF Confederation Cup: CAF Hands RS Berkane Victory Against USM Algiers GNA Global Cocoa Marketing Companies refuse to pay realistic Cocoa prices- CGCI

Les avoirs gérés par les institutionnels africains devraient doubler à l’horizon 2020 (BAD)


  27 Juillet      44        Economy (15121), Finance (716),

   

Casablanca, 27/07/2018 (MAP), Les avoirs gérés par les investisseurs institutionnels africains devraient quasiment doubler, passant d’environ 634 milliards de dollars actuellement à 1100 milliards de dollars à l’horizon 2020, a affirmé, vendredi à Casablanca, le directeur général Afrique du Nord de la Banque Africaine de développement (BAD), Mohamed El Azizi.

Les opportunités d’investissements, porteuses de rendements intéressants, sont nombreuses et en progression en Afrique du Nord, a indiqué M. Azizi lors de la présentation de l’Africa Investment Forum (AIF), prévu à Johannesburg du 07 au 09 novembre 2018.

Il a, cependant, souligné que ces opportunités manquent à attirer l’intérêt des investisseurs institutionnels et des entreprises d’envergure mondiale, expliquant que pour faire face à ces défis, la BAD lance l’AIF, qui est une plateforme 100pc transactionnelle, multi-parties prenantes, et multi-sectorielle, destinée à mobiliser tous les acteurs pour lever les obstacles qui freinent le financement de l’investissement en Afrique.

Pour M. Aziz, l’AIF permettra aussi de déployer tous les moyens pour changer la fausse perception des risques, liée aux investissements en Afrique, expliquant que cette initiative propose une réponse concrète au défi du financement du développement auquel l’Afrique est confrontée.

Il a rappelé que l’Afrique doit mobiliser des investissements conséquents au cours des prochaines décennies, pour accompagner la hausse rapide de la démographie, l’urbanisation et la demande toujours croissante de biens et services.

Les gouvernements et les institutions multilatérales de développement (BMD) ne pourront pas financer à eux seuls ces besoins ce qui rend nécessaire l’élargissement du cercle des partenaires, dans lequel le secteur privé doit s’inscrire et jouer un rôle encore plus actif, at-il ajouté.

Pour sa part le directeur du département des Syndications et Solutions Client de la BAD, Olivier Ewek a indiqué que le prochain AIF, conçu et piloté par la BAD, représente une opportunité de stimuler la transformation économique du continent.

L’AIF est destiné à être une plateforme multipartite et pluridisciplinaire dédiée à appuyer l’instruction des projets jusqu’à leur stade de financement, à lever des capitaux et à accélérer le bouclage financier des projets.

De son coté, la représentante-résidente de la BAD au Maroc, Leila Mokadem, a indiqué que l’AIF vise à constituer le marché africain de l’investissement, où la Banque africaine de développement, ainsi que ses partenaires, aideront à sélectionner et améliorer les projets, attirer des co-investisseurs, structurer, faciliter et surtout concrétiser les transactions.

Les avoirs gérés par les institutionnels africains devraient doubler à l’horizon 2020 (BAD)


  27 Juillet      46        Economy (15121), Finance (716),

   

Casablanca, 27/07/2018 (MAP), Les avoirs gérés par les investisseurs institutionnels africains devraient quasiment doubler, passant d’environ 634 milliards de dollars actuellement à 1100 milliards de dollars à l’horizon 2020, a affirmé, vendredi à Casablanca, le directeur général Afrique du Nord de la Banque Africaine de développement (BAD), Mohamed El Azizi.

Les opportunités d’investissements, porteuses de rendements intéressants, sont nombreuses et en progression en Afrique du Nord, a indiqué M. Azizi lors de la présentation de l’Africa Investment Forum (AIF), prévu à Johannesburg du 07 au 09 novembre 2018.

Il a, cependant, souligné que ces opportunités manquent à attirer l’intérêt des investisseurs institutionnels et des entreprises d’envergure mondiale, expliquant que pour faire face à ces défis, la BAD lance l’AIF, qui est une plateforme 100pc transactionnelle, multi-parties prenantes, et multi-sectorielle, destinée à mobiliser tous les acteurs pour lever les obstacles qui freinent le financement de l’investissement en Afrique.

Pour M. Aziz, l’AIF permettra aussi de déployer tous les moyens pour changer la fausse perception des risques, liée aux investissements en Afrique, expliquant que cette initiative propose une réponse concrète au défi du financement du développement auquel l’Afrique est confrontée.

Il a rappelé que l’Afrique doit mobiliser des investissements conséquents au cours des prochaines décennies, pour accompagner la hausse rapide de la démographie, l’urbanisation et la demande toujours croissante de biens et services.

Les gouvernements et les institutions multilatérales de développement (BMD) ne pourront pas financer à eux seuls ces besoins ce qui rend nécessaire l’élargissement du cercle des partenaires, dans lequel le secteur privé doit s’inscrire et jouer un rôle encore plus actif, at-il ajouté.

Pour sa part le directeur du département des Syndications et Solutions Client de la BAD, Olivier Ewek a indiqué que le prochain AIF, conçu et piloté par la BAD, représente une opportunité de stimuler la transformation économique du continent.

L’AIF est destiné à être une plateforme multipartite et pluridisciplinaire dédiée à appuyer l’instruction des projets jusqu’à leur stade de financement, à lever des capitaux et à accélérer le bouclage financier des projets.

De son coté, la représentante-résidente de la BAD au Maroc, Leila Mokadem, a indiqué que l’AIF vise à constituer le marché africain de l’investissement, où la Banque africaine de développement, ainsi que ses partenaires, aideront à sélectionner et améliorer les projets, attirer des co-investisseurs, structurer, faciliter et surtout concrétiser les transactions.

Dans la même catégorie