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Nette amélioration des indicateurs de la qualité de l’école dans la région du N’zi


  19 Novembre      45        Innovation (5637),

   

Dimbokro, nov 2021 (AIP) – L’éducation est un moyen de renforcer le développement et installer au sein des sociétés et entre les peuples une cohésion sociale et une paix durable. Elle constitue également un droit fondamental pour l’atteinte des objectifs de développement durable. Dans la région du N’zi, les indicateurs ont été améliorés pour une école de qualité tant au niveau du préscolaire, du primaire que du secondaire du système scolaire depuis l’accession du président Alassane Ouattara au pouvoir, en 2011, et ce, grâce à la politique de scolarisation obligatoire de six à 16 ans.

Le gouvernement ivoirien, malgré la crise sanitaire liée à la pandémie du COVID 19, s’échine à offrir aux enfants et aux jeunes, les conditions d’une bonne formation en améliorant les indicateurs.
Le N’zi, fort de ses 247578 habitants, selon le recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) 2014, à l’instar de toutes les autres régions, a inscrit son système éducatif régional dans cette dynamique nouvelle.

Pour faire face aux sollicitations des parents qui scolarisent leurs enfants dans le préscolaire, le gouvernement a construit de nombreuses salles de classe surtout ces quatre dernières années c’est-à-dire de 2017 à 2021 où le nombre de salles de classes a pratiquement doublé en passant de 35 à 66 classes pour 41 écoles préscolaires dans la région du N’zi, indiquent les statistiques scolaires régionales de l’année 2020/2021. Dans ces écoles, ce sont 1914 élèves qui sont enseignés par 80 enseignants soit un ratio de 29 élèves/ par classe. 57% de ces écoles sont situées en milieu rural et elles enseignent 77% des élèves.

Avec la politique de l’école obligatoire instituée par le gouvernement, la pression exercée sur les infrastructures dans la région scolaire est aujourd’hui forte. Cela a amené le gouvernement à mettre l’accent sur la construction des écoles. Ainsi le système éducatif régional a enregistré pour l’année scolaire 2020-2021, 256 écoles primaires publiques soit 95,9% pour 1335 salles de classes dans lesquelles on trouve 45592 écoliers soit 96,5% des élèves de ce cycle d’enseignement. Ils sont enseignés par 1238 enseignants. Dans la région du N’zi, 71% des écoles primaires publiques sont situées en milieu rural et elles enregistrent 66% des élèves de ce cycle. Au total 535 salles de classe ont été construites dans les deux cycles préscolaires et primaires dans la région dont 250 à Bocanda, 218 à Dimbokro et 67 à Kouassikouassikro

La région abrite sept établissements secondaires publics qui représentent 30% des 23 établissements secondaires implantés dans le N’zi. Cependant ces écoles publiques concentraient en leur sein 18207 élèves au cours de l’année scolaire 2020/2021 soit 67% de l’effectif total des élèves du secondaire du N’zi qui était de 27124 élèves. Ces élèves du public sont enseignés par seulement 365 enseignants pour 198 salles de classe. De 2017 à ce jour, l’on constate une augmentation du nombre d’enfants inscrits dans les établissements secondaires publics passant de 16191 à 18207 élèves au cours des quatre dernières années.

De 2011 à ce jour, seuls trois établissements notamment des collèges de proximité ont vu le jour dans la région. Il s’agit du collège de proximité de N’zcrezessou, de Kouadioblekro dans le département de Bocanda et le collège de Djangokro dans le département de Dimbokro.

En Côte d’Ivoire, bien que l’école soit obligatoire pour les enfants de six à 16 ans, 1,6 million d’enfants ne vont pas à l’école et la majorité sont des filles. En outre, des personnes âgées ne sont pas allées à l’école. Tous ont la possibilité de s’instruire grâce aux centres d’alphabétisation mis en place avec le concours de l’UNICEF. Dans le N’zi, ce sont huit centres qui sont fonctionnels pour 183 apprenants et neuf animateurs.

La création d’une école privée est liée à l’obtention d’une autorisation délivrée par le ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation. La région du N’zi enregistre dans le privé une école préscolaire, sept écoles primaires et 16 écoles secondaires et trois établissements techniques.

Dans sa volonté d’offrir les mêmes chances à tous les enfants du pays, le gouvernement procède à l’intégration des structures islamique d’éducation dans le système formel. Ainsi dans la région du N’zi, ce sont 1941 enfants qui ont, en 2020/2021, fréquenté 17 structures islamiques d’éducation répertoriées. Aujourd’hui ces structures dans la région que sont les écoles franco-arabes, les merdersa et les écoles coraniques traditionnelles sont encouragées à se conformer aux normes du système éducatif ivoirien en se transformant en école confessionnelle islamique capable de donner les acquis nécessaire pour participer au développement de la Côte d’Ivoire.

Une école sous le hangar à Ahouzankro dans le département de Kouassikouassikro

L’amélioration des indicateurs qui traduit la volonté du gouvernement de transformer le capital humain pour un développement durable ne doit, cependant pas occulter les nombreux défis à relever pour une école de qualité dans la région. Ces défis se situent à plusieurs niveaux notamment au plan infrastructurel et humain.

Dans la région du N’zi, il n’y a pas d’écoles professionnelles ou techniques publiques. Cette absence constitue un handicap pour les nombreux enfants qui souhaitent intégrer ces structures de formation à cycle court pour l’apprentissage d’un métier. Malgré les efforts consentis par l’Etat ivoirien pour construire des salles de classes, plusieurs localité de la région du N’zi notamment dans les départements de Bocanda et de Dimbokro souffrent d’un manque de bâtiments, ce qui oblige les parents d’élèves et les enseignants à construire dans les villages des abris de fortune ou hangars pour abriter les élèves du primaire et du préscolaire.

Une situation exposant ainsi élèves et enseignants aux dangers liés aux intempéries et aux morsures de reptiles. C’est le cas de plus d’une dizaine de villages de département de Kouassikouassikro dont Akotiakro, Bonzo Malekro, Ahouzankro, Sassaohokro et Abo kouassikro. Il en est de même de l’EPP Alikonan N’zikro dans le département de Bocanda. A côté de l’insuffisance de bâtiments se greffe le manque de tables-bancs dans les établissements même si cette année 2020/2021, l’Etat, à travers le conseil régional, en a distribué des milliers. Dans les établissements primaires et préscolaires de la région du N’zi plus de 60 à 80% des écoles manquent de point d’eau, d’électricité, de clôture et de latrines.

Le déficit d’enseignants bien que se situant au niveau national est plus accentué dans la région du N’zi. Ce qui fait qu’aujourd’hui dans certaines écoles primaires publiques dans les villages, le recrutement des enseignants bénévoles constitue une nécessité.

L’école dans le N’zi connait des avancées notables matérialisées par la construction de plusieurs salles de classe depuis 2011 qui au regard de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de 6 à 16 ans subissent de forte pression à cause du nombre de plus en plus élevé d’élèves chaque année. Cela engendre d’ailleurs des déficits d’enseignants aussi bien au primaire qu’au secondaire.

Nette amélioration des indicateurs de la qualité de l’école dans la région du N’zi


  19 Novembre      45        Innovation (5637),

   

Dimbokro, nov 2021 (AIP) – L’éducation est un moyen de renforcer le développement et installer au sein des sociétés et entre les peuples une cohésion sociale et une paix durable. Elle constitue également un droit fondamental pour l’atteinte des objectifs de développement durable. Dans la région du N’zi, les indicateurs ont été améliorés pour une école de qualité tant au niveau du préscolaire, du primaire que du secondaire du système scolaire depuis l’accession du président Alassane Ouattara au pouvoir, en 2011, et ce, grâce à la politique de scolarisation obligatoire de six à 16 ans.

Le gouvernement ivoirien, malgré la crise sanitaire liée à la pandémie du COVID 19, s’échine à offrir aux enfants et aux jeunes, les conditions d’une bonne formation en améliorant les indicateurs.
Le N’zi, fort de ses 247578 habitants, selon le recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) 2014, à l’instar de toutes les autres régions, a inscrit son système éducatif régional dans cette dynamique nouvelle.

Pour faire face aux sollicitations des parents qui scolarisent leurs enfants dans le préscolaire, le gouvernement a construit de nombreuses salles de classe surtout ces quatre dernières années c’est-à-dire de 2017 à 2021 où le nombre de salles de classes a pratiquement doublé en passant de 35 à 66 classes pour 41 écoles préscolaires dans la région du N’zi, indiquent les statistiques scolaires régionales de l’année 2020/2021. Dans ces écoles, ce sont 1914 élèves qui sont enseignés par 80 enseignants soit un ratio de 29 élèves/ par classe. 57% de ces écoles sont situées en milieu rural et elles enseignent 77% des élèves.

Avec la politique de l’école obligatoire instituée par le gouvernement, la pression exercée sur les infrastructures dans la région scolaire est aujourd’hui forte. Cela a amené le gouvernement à mettre l’accent sur la construction des écoles. Ainsi le système éducatif régional a enregistré pour l’année scolaire 2020-2021, 256 écoles primaires publiques soit 95,9% pour 1335 salles de classes dans lesquelles on trouve 45592 écoliers soit 96,5% des élèves de ce cycle d’enseignement. Ils sont enseignés par 1238 enseignants. Dans la région du N’zi, 71% des écoles primaires publiques sont situées en milieu rural et elles enregistrent 66% des élèves de ce cycle. Au total 535 salles de classe ont été construites dans les deux cycles préscolaires et primaires dans la région dont 250 à Bocanda, 218 à Dimbokro et 67 à Kouassikouassikro

La région abrite sept établissements secondaires publics qui représentent 30% des 23 établissements secondaires implantés dans le N’zi. Cependant ces écoles publiques concentraient en leur sein 18207 élèves au cours de l’année scolaire 2020/2021 soit 67% de l’effectif total des élèves du secondaire du N’zi qui était de 27124 élèves. Ces élèves du public sont enseignés par seulement 365 enseignants pour 198 salles de classe. De 2017 à ce jour, l’on constate une augmentation du nombre d’enfants inscrits dans les établissements secondaires publics passant de 16191 à 18207 élèves au cours des quatre dernières années.

De 2011 à ce jour, seuls trois établissements notamment des collèges de proximité ont vu le jour dans la région. Il s’agit du collège de proximité de N’zcrezessou, de Kouadioblekro dans le département de Bocanda et le collège de Djangokro dans le département de Dimbokro.

En Côte d’Ivoire, bien que l’école soit obligatoire pour les enfants de six à 16 ans, 1,6 million d’enfants ne vont pas à l’école et la majorité sont des filles. En outre, des personnes âgées ne sont pas allées à l’école. Tous ont la possibilité de s’instruire grâce aux centres d’alphabétisation mis en place avec le concours de l’UNICEF. Dans le N’zi, ce sont huit centres qui sont fonctionnels pour 183 apprenants et neuf animateurs.

La création d’une école privée est liée à l’obtention d’une autorisation délivrée par le ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation. La région du N’zi enregistre dans le privé une école préscolaire, sept écoles primaires et 16 écoles secondaires et trois établissements techniques.

Dans sa volonté d’offrir les mêmes chances à tous les enfants du pays, le gouvernement procède à l’intégration des structures islamique d’éducation dans le système formel. Ainsi dans la région du N’zi, ce sont 1941 enfants qui ont, en 2020/2021, fréquenté 17 structures islamiques d’éducation répertoriées. Aujourd’hui ces structures dans la région que sont les écoles franco-arabes, les merdersa et les écoles coraniques traditionnelles sont encouragées à se conformer aux normes du système éducatif ivoirien en se transformant en école confessionnelle islamique capable de donner les acquis nécessaire pour participer au développement de la Côte d’Ivoire.

Une école sous le hangar à Ahouzankro dans le département de Kouassikouassikro

L’amélioration des indicateurs qui traduit la volonté du gouvernement de transformer le capital humain pour un développement durable ne doit, cependant pas occulter les nombreux défis à relever pour une école de qualité dans la région. Ces défis se situent à plusieurs niveaux notamment au plan infrastructurel et humain.

Dans la région du N’zi, il n’y a pas d’écoles professionnelles ou techniques publiques. Cette absence constitue un handicap pour les nombreux enfants qui souhaitent intégrer ces structures de formation à cycle court pour l’apprentissage d’un métier. Malgré les efforts consentis par l’Etat ivoirien pour construire des salles de classes, plusieurs localité de la région du N’zi notamment dans les départements de Bocanda et de Dimbokro souffrent d’un manque de bâtiments, ce qui oblige les parents d’élèves et les enseignants à construire dans les villages des abris de fortune ou hangars pour abriter les élèves du primaire et du préscolaire.

Une situation exposant ainsi élèves et enseignants aux dangers liés aux intempéries et aux morsures de reptiles. C’est le cas de plus d’une dizaine de villages de département de Kouassikouassikro dont Akotiakro, Bonzo Malekro, Ahouzankro, Sassaohokro et Abo kouassikro. Il en est de même de l’EPP Alikonan N’zikro dans le département de Bocanda. A côté de l’insuffisance de bâtiments se greffe le manque de tables-bancs dans les établissements même si cette année 2020/2021, l’Etat, à travers le conseil régional, en a distribué des milliers. Dans les établissements primaires et préscolaires de la région du N’zi plus de 60 à 80% des écoles manquent de point d’eau, d’électricité, de clôture et de latrines.

Le déficit d’enseignants bien que se situant au niveau national est plus accentué dans la région du N’zi. Ce qui fait qu’aujourd’hui dans certaines écoles primaires publiques dans les villages, le recrutement des enseignants bénévoles constitue une nécessité.

L’école dans le N’zi connait des avancées notables matérialisées par la construction de plusieurs salles de classe depuis 2011 qui au regard de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de 6 à 16 ans subissent de forte pression à cause du nombre de plus en plus élevé d’élèves chaque année. Cela engendre d’ailleurs des déficits d’enseignants aussi bien au primaire qu’au secondaire.

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