MAP Addis-Abeba: L’Union Panafricaine de la Jeunesse tient un Forum consultatif en prélude au Sommet de l’avenir des Nations Unies MAP Sénégal: ouverture à Dakar de la 6è édition du festival  »Films femmes Afrique » MAP Agriculture/Irrigation : le Maroc, un modèle à suivre (ministre ivoirien) Aménagement et bitumage des voiries à Bobo-Dioulasso : les acteurs économiques expriment leur reconnaissance au Chef de l’Etat ANP Région de Zinder : WAPCO et CHINA Petroleum offrent un lot d’équipements sportifs et de matériels scolaires à la jeunesse de Damagaram Takaya AIP Côte d’Ivoire: Vers la mise en place d’un registre national des malformations congénitales L’Etat réaffirme son engagement à accompagner le cinéma et l’audiovisuel (ministre) AIB Burkina : Le Parlement dit oui à la tenue d’assises nationales où se décidera la suite de la Transition AIB Aménagement et bitumage des voiries à Bobo-Dioulasso : les acteurs économiques expriment leur reconnaissance au Chef de l’Etat AIB Spectacle de parachutistes commandos à Bobo, en prélude à l’ouverture de la SNC 2024

LA DIRECTION DE LA CINÉMATOGRAPHIE VEUT FAIRE RESPECTER LA LOI SUR LES AUTORISATIONS DE TOURNAGE


  12 Septembre      154        Cinéma (432),

 

Dakar, 11 sept (APS) – Le directeur de la cinématographie, Hugues Dias, a réitéré son appel aux producteurs audiovisuels du Sénégal relativement au respect des règlementaires sur les autorisations de tournage de films et autres productions.

Dans une note transmise à l’APS, le directeur de la cinématographie souligne qu’il ne sera plus toléré un tournage de film sans autorisation. Il avertit que la direction de la cinématographie, en relation avec les autorités administratives et sécuritaires compétentes se fera le devoir de faire respecter la loi.

‘’J’attache du prix au respect et à l’application stricte de la réglementation en vigueur’’, a insisté Hugues Dias qui dit avoir constaté que certains producteurs de téléfilms et de séries télévisées tournent sans autorisation de tournage.

Les fautifs s’exposent aux sanctions allant de la confiscation des négatifs ou de la caméra pour un tournage non autorisé à une amende prévue par la loi allant de trois voir dix millions de Francs Cfa pour les longs métrages et les séries et un à cinq millions FCFA pour les courts métrages, a-t-il rappelé.

‘’Il faut maintenant sévir après avoir trop informé, trop sensibilisé, il faut passer à la phase du bâton pour que les mauvais élèves soient punis’’, a-t-il indiqué.

Le directeur de la cinématographie avait déclaré le mois dernier que la plupart des séries sénégalaises décriées pour leurs contenus jugés attentatoires aux bonnes mœurs ne disposaient pas d’une autorisation de tournage, quitus permettant un contrôle a priori de ces productions avant leur sortie.

Dans la même catégorie