Mbandaka,1er novembre 2022 (ACP) – La santé de la jeune fille et de la femme en général constitue une préoccupation à l’échelle mondiale, a déclaré le Dr Valérie Ndenge, coordonnatrice provinciale de l’ONG Agir Ensemble pour une vie Meilleure(AGEVIME).
Elle a fait cette déclaration à l’issue d’un atelier de formation de deux jours organisé en faveur de 10 paires éducateurs ainsi que de 20 jeunes filles et femmes sur l’importance de la santé sexuelle et la planification familiale dans la zone de santé de Wangata à Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur.
Le Dr Valérie Ndenge a ensuite souligné que toute femme a droit à l’accès volontaire et sans danger à la planification familiale et les grossesses non désirées restent un problème de la santé publique. Elle a par ailleurs précisé que 25.000 millions d’avortements sont de manière clandestines, à risque avec 47.000 millions de décès par ans et 217.000 n’ont pas recourues à la planification familiale.
Cet atelier avait pour objectif de contribuer à l’amélioration de la santé de la jeune fille et de la femme en activité sexuelle, par la promotion de la planification familiale, la prévention et le dépistage des infections sexuellement transmissibles, la promotion des activités génératrices de revenus et protection de l’environnement, a-t-elle fait savoir.
Il sied de signaler que cette activité a bénéficié de l’appui financier du Fonds pour les femmes congolaises, et mise en œuvre par l’ONG Agir Ensemble pour une vie Meilleure.
