Yaoundé, 31/01/2023 (MAP) – Le Maroc dispose des meilleures infrastructures sportives du Continent, ont, d’emblée, mis en avant les journaux camerounais, « l’Economie quotidien », et « Intégration », notant que le Royaume a accumulé une expérience solide dans l’organisation d’événements sportifs, footballistique en l’occurrence.
« Le Maroc dispose des meilleures infrastructures footballistiques d’Afrique, tous les stades retenus ayant reçu l’homologation de la FIFA (…), mais aussi celle de la CAF. Le Royaume est également doté du Complexe Mohammed VI de Football, l’un des meilleurs au monde », soulignent les deux journaux camerounais, ajoutant que le choix des villes hôtes répond à l’exigence de l’excellence opérationnelle, en termes d’infrastructures sportives, résidentielles et de transport.
« L’Economie quotidien » et « Intégration » relèvent, également, que le Maroc « dispose aujourd’hui de plus 200 pelouses synthétiques, d’une vingtaine de stades avec pelouses naturelles, et de plusieurs centres régionaux de formation, répondant aux normes les plus exigeantes, à l’image du fameux Complexe Mohammed VI de Football, « infrastructure unique en Afrique ».
Ce Joyau offre des équipements de pointe, conformes aux standards de la FIFA, qui en font un des complexes sportifs les plus importants et performants du monde, notent les deux médias, tout en mettant en avant le rôle primordial des centres dont sont dotées les 12 régions du Royaume.
Il s’agit là d’une conception du cycle de développement, qui commence par la détection dans le football de masse, s’acheminant via les clubs, vers le centre régional, pour atterrir au centre d’excellence national, poursuivent les deux quotidiens.
Par ailleurs, met-on en avant, le Maroc est le seul pays africain à avoir passé avec succès le préalable exigé par la FIFA concernant l’ensemble des critères établis dans son cahier de charge (infrastructures sportive, hôtelière, de santé …) pour pouvoir être éligible à l’organisation d’une Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes.
Lors de la candidature pour la Coupe du Monde 2026, une task force de la FIFA composée de dizaines d’experts avait sillonné tout le Maroc pendant plusieurs mois avant d’attribuer une note au-delà de la moyenne, se félicitent les deux journaux, soulignant, par conséquent, que le Royaume possède une longueur d’avance sur les autres prétendants à l’organisation de la CAN-2025.
En outre, les deux quotidiens ont cité l’Aéroport international Mohammed V de Casablanca, « ce véritable hub africain », et la Royal Air Maroc RAM, présente dans plusieurs pays et desservant plus de 82 destinations en Afrique.
S’agissant de la présence du public, les médias ont relevé qu’une CAN au Maroc offrira la chance à la diaspora africaine présente en Europe de se joindre à la fête, le Royaume étant largement desservi à partir du Vieux continent.
« Chaque ville hôte dispose d’un Aéroport international. Il sera également possible de se déplacer entre les villes en train, toutes étant reliées par voie ferroviaire », poursuit-on.
Et de mettre en exergue, dans ce sillage, le TGV Tanger-Casablanca, ainsi que le réseau autoroutier moderne long de plus de 2000 km, dont est doté le Royaume.
Le pays possède également une forte expérience dans le domaine touristique et est doté d’une infrastructure hôtelière de grande qualité et en quantité suffisante à même d’accueillir les équipes nationales, les délégations officielles et les supporters dans des conditions favorables, indiquent les deux journaux.
« L’on peut citer la CAN féminine 2022, la Ligue des Champions Féminine 2022, le CHAN 2018 mais aussi plusieurs conférences, tel que le Séminaire FIFA-CAF sur les infrastructures, au Complexe Mohammed VI, en 2020″, soulignent les médias camerounais, ajoutant que le Maroc a pu accueillir plusieurs équipes africaines n’ayant pas de stades homologués lors des éliminatoires pour la Coupe du Monde 2022.
Pour les autorités du Royaume, la CAN-2025 sera un événement réussi car la compétition se déroulera dans des conditions logistiques optimales », concluent « L’Economie quotidien » et « Intégration ».
