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14ème édition de la Tropicale Amissa Bongo: Les coureurs gabonais déjà en grande souffrance


  22 Janvier      25        Sport (7879),

   

Libreville, 22 Janvier (AGP) – C’est le constat qui ressort de la prestation de l’équipe nationale du Gabon après deux jours de compétition. A ce jour, aucun cycliste gabonais ne figure dans le top 20. Néanmoins, on note la bonne prestation de Cédric Valère Djouta, lors de la première étape et celle de Geoffroy Ngandamba, premier gabonais a foulé la ligne d’arrivé ce 22 janvier à Okondja, dans la province du Haut-Ogooué (Sud-Est). Pour le dire, sauf miracle, ce n’est pas cette année qu’un coureur local remportera une étape de la Tropicale Amissa Bongo.

Abraham Olono, coach de  la sélection nationale du Gabon, l’a clairement dit hier lundi à Moanda  au terme de la première étape remportée au sprint par Niccola Bonifazio de Direct Energie. «Il faut être réaliste, il est encore impossible de voir un cycliste gabonais remporter une étape de la Tropicale», a-t-il lâché au micro de notre envoyé spécial. Les propos pourtant objectifs et sincères du technicien espagnol peuvent déplaire, mais ils cadrent avec la réalité du cyclisme gabonais encore au stade embryonnaire après la 14e édition de la Tropicale. Une course cycliste professionnelle financée à coup de millions par le Gabon.

Au terme de ces deux premières journées dans la province du Haut-Ogooué (Bongoville-Moanda et Franceville-Okondja), les cyclistes gabonais ont été à la peine. Constat pas du tout surprenant pour les initiés. Pour la première étape, longue de 100 km, aucun cycliste gabonais ne figurait parmi les vingt premiers. Néanmoins on peut  quand-même saluer la prestation de Cédric  Valère Djouta, classé 50e au classement général qui a parcouru les 100 km en 2h43’404 ». Grâce à ce temps, le coureur gabonais se positionnait à 29 secondes du maillot jaune Niccola Bonifazio. Un exploit pour certains. Tandis que le capitaine,  Geoffroy Ngandamba occupait la 63e position au finish. Glenn Morgan Moulingui, Ephrem Ekobena, se contentèrent de la 70e, 80e et 87e place. Et Leris Moukagni, qui a été poussé par ses coéquipiers à la montée de Mvengué, était le dernier de la classe de cette première étape (90e). Le coureur gabonais, qui compte aujourd’hui 11 participations à la petite reine gabonaise, a montré des insuffisances techniques.

Ce mardi 22 janvier, les 90 coureurs ont été mis à rude épreuve entre Franceville et Okondja longue de 169 km. C’était l’étape la plus longue de  cette 14e édition de la Tropicale. Après six heures de route, l’Italien Bonifazio est resté leader en franchissant la ligne d’arrivée en premier en 4h 04 23 ». Le public, qui a pris d’assaut la tribune officielle d’Okondja, a dû  s’armer de patience pour voir le premier coureur gabonais à franchir la ligne d’arrivée. Quatre minutes plus tard, après l’arrivée du leader venu de l’autre côté des Alpes, le public apercevait la tunique aux couleurs du Gabon. Qui est-ce? C’est le capitaine Geoffroy Ngandamba, qui dit apprécier les longues distances. Natif d’Okondja, le cycliste gabonais jouait à domicile et termine l’épreuve à la 57e place. «Le parcours a été difficile, mais tout se passe dans la tête, avec les professionnels il faut être fort mentalement», a-t-il dit.

Le reste des coéquipiers de Ngandamba ont pris un coup après 30 km du parcours notamment au niveau du village Kellé précisément à l’entrée de Bongoville. Alors que l’ensemble de la délégation rentrait déjà sur Franceville, Cédric Djouta et compagnie, étaient encore  à 4 km de l’arrivée. De quoi suscité des moqueries de la part des coureurs professionnels à bord de leurs bus.  Ces derniers étaient étonnés de voir encore des cyclistes encore sur le parcours. Pour le capitaine des Panthères, cette situation s’expliquerait par le temps mis à Libreville après leur retour de l’Afrique du Sud. «On n’a trop perdu du temps à Libreville, ce qui a causé la méforme de l’équipe. Nous sommes revenus de l’Afrique du Sud avec plein d’ambitions, et nous payons aujourd’hui les fruits de notre long séjour à Libreville», a regretté Ngandamba.

14ème édition de la Tropicale Amissa Bongo: Les coureurs gabonais déjà en grande souffrance


  22 Janvier      28        Sport (7879),

   

Libreville, 22 Janvier (AGP) – C’est le constat qui ressort de la prestation de l’équipe nationale du Gabon après deux jours de compétition. A ce jour, aucun cycliste gabonais ne figure dans le top 20. Néanmoins, on note la bonne prestation de Cédric Valère Djouta, lors de la première étape et celle de Geoffroy Ngandamba, premier gabonais a foulé la ligne d’arrivé ce 22 janvier à Okondja, dans la province du Haut-Ogooué (Sud-Est). Pour le dire, sauf miracle, ce n’est pas cette année qu’un coureur local remportera une étape de la Tropicale Amissa Bongo.

Abraham Olono, coach de  la sélection nationale du Gabon, l’a clairement dit hier lundi à Moanda  au terme de la première étape remportée au sprint par Niccola Bonifazio de Direct Energie. «Il faut être réaliste, il est encore impossible de voir un cycliste gabonais remporter une étape de la Tropicale», a-t-il lâché au micro de notre envoyé spécial. Les propos pourtant objectifs et sincères du technicien espagnol peuvent déplaire, mais ils cadrent avec la réalité du cyclisme gabonais encore au stade embryonnaire après la 14e édition de la Tropicale. Une course cycliste professionnelle financée à coup de millions par le Gabon.

Au terme de ces deux premières journées dans la province du Haut-Ogooué (Bongoville-Moanda et Franceville-Okondja), les cyclistes gabonais ont été à la peine. Constat pas du tout surprenant pour les initiés. Pour la première étape, longue de 100 km, aucun cycliste gabonais ne figurait parmi les vingt premiers. Néanmoins on peut  quand-même saluer la prestation de Cédric  Valère Djouta, classé 50e au classement général qui a parcouru les 100 km en 2h43’404 ». Grâce à ce temps, le coureur gabonais se positionnait à 29 secondes du maillot jaune Niccola Bonifazio. Un exploit pour certains. Tandis que le capitaine,  Geoffroy Ngandamba occupait la 63e position au finish. Glenn Morgan Moulingui, Ephrem Ekobena, se contentèrent de la 70e, 80e et 87e place. Et Leris Moukagni, qui a été poussé par ses coéquipiers à la montée de Mvengué, était le dernier de la classe de cette première étape (90e). Le coureur gabonais, qui compte aujourd’hui 11 participations à la petite reine gabonaise, a montré des insuffisances techniques.

Ce mardi 22 janvier, les 90 coureurs ont été mis à rude épreuve entre Franceville et Okondja longue de 169 km. C’était l’étape la plus longue de  cette 14e édition de la Tropicale. Après six heures de route, l’Italien Bonifazio est resté leader en franchissant la ligne d’arrivée en premier en 4h 04 23 ». Le public, qui a pris d’assaut la tribune officielle d’Okondja, a dû  s’armer de patience pour voir le premier coureur gabonais à franchir la ligne d’arrivée. Quatre minutes plus tard, après l’arrivée du leader venu de l’autre côté des Alpes, le public apercevait la tunique aux couleurs du Gabon. Qui est-ce? C’est le capitaine Geoffroy Ngandamba, qui dit apprécier les longues distances. Natif d’Okondja, le cycliste gabonais jouait à domicile et termine l’épreuve à la 57e place. «Le parcours a été difficile, mais tout se passe dans la tête, avec les professionnels il faut être fort mentalement», a-t-il dit.

Le reste des coéquipiers de Ngandamba ont pris un coup après 30 km du parcours notamment au niveau du village Kellé précisément à l’entrée de Bongoville. Alors que l’ensemble de la délégation rentrait déjà sur Franceville, Cédric Djouta et compagnie, étaient encore  à 4 km de l’arrivée. De quoi suscité des moqueries de la part des coureurs professionnels à bord de leurs bus.  Ces derniers étaient étonnés de voir encore des cyclistes encore sur le parcours. Pour le capitaine des Panthères, cette situation s’expliquerait par le temps mis à Libreville après leur retour de l’Afrique du Sud. «On n’a trop perdu du temps à Libreville, ce qui a causé la méforme de l’équipe. Nous sommes revenus de l’Afrique du Sud avec plein d’ambitions, et nous payons aujourd’hui les fruits de notre long séjour à Libreville», a regretté Ngandamba.

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