Brazzaville – Le Comité des experts du Réseau des établissements d’enseignement supérieur et des institutions de recherche de l’Afrique centrale (Reesirac) a invité, le 17 décembre, les établissements membres à intégrer les curricula sur l’entreprenariat dans la formation des étudiants.
Cet appel fait partie des recommandations dudit Comité, lors de la clôture de la 4ème Assemblée générale du Reesirac tenue du 15 au 17 décembre à Brazzaville. Cet organe a recommandé également la poursuite de la mise en place, pour chaque établissement membre, d’une cellule assurance-qualité, avec un point focal assurance-qualité désigné.
De même, il a suggéré la poursuite du renseignement, par chaque établissement, avec la fiche informative disponible du Reesirac, pour la centralisation des données et la confection de la carte universitaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) ainsi que la conception, la rédaction et la validation, en interne puis en externe, d’un plan stratégique de développement qui affiche de façon lisible la vision de l’institution.
Concernant le comité exécutif, le Comité des experts du Reesirac l’a incité à engager des actions de rapprochement avec d’autres fora africains et de faire en sorte que le Reesirac ne se prive pas de l’expérience des autres espaces linguistiques de l’Afrique centrale.
Par ailleurs, les participants ont décidé de la délocalisation du siège du Reesirac de Douala, au Cameroun, pour le transférer au siège de la Ceeac, à Libreville au Gabon.
Intervenant au cours de la cérémonie de clôture de cette Assemblée générale, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Mme Edith Delphine Emmanuel, a confirmé l’attachement du Congo aux défis et aux perspectives définies par le Reesirac à l’horizon 2025.
Aussi, elle a fait savoir que les instituts, les établissements d’enseignement supérieur publics et privés sous sa tutelle adhéreront au Reesirac. Elle a souhaité que ce réseau, avec l’appui de la Ceeac, soit une locomotive qui puisse conduire au développement des établissements de la sous-région.
Selon elle, il n’y a pas de développement sans la recherche scientifique et technologique, non plus sans un enseignement supérieur performant et compétitif.
Pour sa part, le représentant du directeur régional de l’Unesco, M. Hilaire Mputu, a encouragé les Etats membres de la Ceeac à investir dans la science, la technologie et l’innovation. De même il les appelés à œuvrer au développement des réseaux d’échange comme le Reesirac et à la création des pôles d’Excellence technologiques et universitaires.
En outre, il les a invités à renforcer leurs capacités dans le suivi et l’évaluation des performances, grâce aux indicateurs des sciences, des technologies, des innovations et des statistiques qui tiennent compte de la grande diversité et des différents contextes spécifiques à chaque pays. Pour lui, les scientifiques et les chercheurs ont un rôle fondamental à jouer pour éclairer les décisions des décideurs à l’échelle nationale et régionale, voire mondiale.
Au cours de cette cérémonie de clôture, les cinq nouveaux membres du comité exécutif du Reesirac, élus pour un mandat de quatre ans, ont été présentés à l’Assemblée générale, avec à la présidence le Pr Roger Tsafack Nanfosso, le recteur de l’Université de Dschang, au Cameroun.
Outre ce bureau, deux commissions spécialisées ont été mises en place, à savoir la commission technologie, information et communication, ainsi que la commission recherche et innovation. Les autres commissions seront installées progressivement, a-t-on appris.
Brazzaville – Le Comité des experts du Réseau des établissements d’enseignement supérieur et des institutions de recherche de l’Afrique centrale (Reesirac) a invité, le 17 décembre, les établissements membres à intégrer les curricula sur l’entreprenariat dans la formation des étudiants.
Cet appel fait partie des recommandations dudit Comité, lors de la clôture de la 4ème Assemblée générale du Reesirac tenue du 15 au 17 décembre à Brazzaville. Cet organe a recommandé également la poursuite de la mise en place, pour chaque établissement membre, d’une cellule assurance-qualité, avec un point focal assurance-qualité désigné.
De même, il a suggéré la poursuite du renseignement, par chaque établissement, avec la fiche informative disponible du Reesirac, pour la centralisation des données et la confection de la carte universitaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) ainsi que la conception, la rédaction et la validation, en interne puis en externe, d’un plan stratégique de développement qui affiche de façon lisible la vision de l’institution.
Concernant le comité exécutif, le Comité des experts du Reesirac l’a incité à engager des actions de rapprochement avec d’autres fora africains et de faire en sorte que le Reesirac ne se prive pas de l’expérience des autres espaces linguistiques de l’Afrique centrale.
Par ailleurs, les participants ont décidé de la délocalisation du siège du Reesirac de Douala, au Cameroun, pour le transférer au siège de la Ceeac, à Libreville au Gabon.
Intervenant au cours de la cérémonie de clôture de cette Assemblée générale, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Mme Edith Delphine Emmanuel, a confirmé l’attachement du Congo aux défis et aux perspectives définies par le Reesirac à l’horizon 2025.
Aussi, elle a fait savoir que les instituts, les établissements d’enseignement supérieur publics et privés sous sa tutelle adhéreront au Reesirac. Elle a souhaité que ce réseau, avec l’appui de la Ceeac, soit une locomotive qui puisse conduire au développement des établissements de la sous-région.
Selon elle, il n’y a pas de développement sans la recherche scientifique et technologique, non plus sans un enseignement supérieur performant et compétitif.
Pour sa part, le représentant du directeur régional de l’Unesco, M. Hilaire Mputu, a encouragé les Etats membres de la Ceeac à investir dans la science, la technologie et l’innovation. De même il les appelés à œuvrer au développement des réseaux d’échange comme le Reesirac et à la création des pôles d’Excellence technologiques et universitaires.
En outre, il les a invités à renforcer leurs capacités dans le suivi et l’évaluation des performances, grâce aux indicateurs des sciences, des technologies, des innovations et des statistiques qui tiennent compte de la grande diversité et des différents contextes spécifiques à chaque pays. Pour lui, les scientifiques et les chercheurs ont un rôle fondamental à jouer pour éclairer les décisions des décideurs à l’échelle nationale et régionale, voire mondiale.
Au cours de cette cérémonie de clôture, les cinq nouveaux membres du comité exécutif du Reesirac, élus pour un mandat de quatre ans, ont été présentés à l’Assemblée générale, avec à la présidence le Pr Roger Tsafack Nanfosso, le recteur de l’Université de Dschang, au Cameroun.
Outre ce bureau, deux commissions spécialisées ont été mises en place, à savoir la commission technologie, information et communication, ainsi que la commission recherche et innovation. Les autres commissions seront installées progressivement, a-t-on appris.
