Porto-Novo, 03 Juin. 2019 (ABP)- La correction des copies des candidats du département de l’Atlantique ayant composé à l’examen du BEPC session de mai 2019, a effectivement démarré ce lundi au CEG1 d’Allada avec la participation active d’un nombre suffisant de correcteurs qui ont reçu la visite de plusieurs délégations dont celle conduite par le directeur départemental de l’enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, Maurice Podanho, a constaté l’ABP.
La correction du lot de copies de candidats de l’Atlantique, affectées au centre de correction du CEG 1 d’Allada, a commencé, tôt ce matin et se poursuit normalement, à la grande satisfaction du chef-centre de correction, Eloi Dounon qui a déclaré que dans l’Atlantique, sur les trois (03) centres de correction des copies des candidats au brevet d’études du premier cycle (BEPC) session normale de mai 2019, seul le CEG 1 Allada, est le plus important centre du fait qu’il abrite la correction des copies d’anglais, d’allemand et d’espagnol de tout le département.
Selon les statistiques, au moins 146.850 copies toutes matières confondues sont réparties à neuf cent soixante-dix-neuf (979) correcteurs, à raison de cent cinquante (150) copies par correcteur et ce, pour une période de correction qui prendra fin le vendredi prochain, ont déclaré le chef service de la direction départementale de l’enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, Isidore Vidogbèna et le chef-centre de correction du CEG 1 d’Allada, Eloi Dounon.
Il faut signaler que le directeur départemental de l’enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, Maurice Podanho, au cours de sa visite, a invité les correcteurs à faire preuve de sérieux devant les copies. «Je suis venu pour voir si la correction a bien commencé et vous inviter à prendre la correction des copies bien à cœur. Pas de sentiment à faire prévaloir. Lisez bien et essayez de déchiffrer la production des candidats pour bien les comprendre afin de pouvoir leur donner la note qu’ils méritent».
