Lomé, 19 juil. (ATOP) – La célébration de la journée mondiale de la population au Togo, a été marquée, les 16 et 17 juillet, par des activités allant dans le cadre de la mobilisation des acteurs de développement et des décideurs sur les engagements et les investissements nécessaires à la mise en œuvre complète du programme d’action sur la santé sexuelle et reproductive.
Il s’agit de la remise d’un lot de matériels de soins de santé maternelle et de planification familiale au CMS de Salgado, suivie de la prestation de services gratuite en planification familiale ; une causerie débat avec les étudiants en première année de médecine sur la promotion des droits sexuels et reproductifs. Une collecte de données de routine dans les formations sanitaires et dans les centres d’écoute de l’action sociale en vue d’une estimation des impacts de la covid 19 sur la natalité et sur la prévalence des violences basées sur le genre au Togo, a été également organisée.
Célébrée chaque 11 juillet, cette journée permet d’attirer l’attention des populations sur l’urgence et l’importance des problèmes démographiques. Le thème général pour cette année est « Les droits et les choix sont la solution : en cas de baby-boom, influer sur les taux de fécondité ne peut se faire qu’en faisant des droits et de la santé reproductive de toutes une priorité ».
Ces activités sont initiées par le ministère de la Planification du développement et de la coopération (MPDC) en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) sous le thème « la santé et les droits reproductifs pour tous restent une priorité en période de COVID-19 ». Elles sont financées par le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA).
Les activités ont été lancées par le directeur de cabinet du ministère de la Planification du développement et de la coopération (MPDC), Edjeou Essohanam en présence du représentant de la représentante du Fonds des nations unies pour la population (UNFPA), Dr Bwato N’Sindi ; la directrice des études de la population, Womisso Victorine et des étudiantes de la science de santé de l’université de Lomé.
