Brazzaville, 17 AOÛT (ACI) – La relance de l’économie nationale peut se faire en réactivant la consommation par des revenus réguliers et suffisants de la population active, a fait savoir, le 16 août à Brazzaville, la présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese), Mme Emilienne Raoul.
«Comme le Congo importe l’essentiel de ce que consomment les populations, ce sont les pays d’où proviennent ces importations qui sont les principaux bénéficiaires, en termes de croissance. C’est ainsi qu’après la consommation, l’investissement doit constituer le deuxième levier dans la relance de l’économie nationale», a-t-elle dit au cours d’une interview exclusive accordée à l’Aci.
A cette occasion, elle a suggéré l’identification des projets de diversification de l’économie nationale, particulièrement dans la transformation locale des ressources agro-pastorales et forestières.
A cette occasion, Mme Raoul a déploré la persistance de la pandémie du coronavirus qui a accentué les maux dont souffrent les populations depuis longtemps, entre autres le chômage des jeunes, le faible pouvoir d’achat des familles, le retard de paiement des pensions des retraités et des bourses des étudiants, les difficultés d’accès aux soins de qualité, à l’eau et à l’électricité, ainsi que l’augmentation du prix des denrées alimentaires.
Parlant de la visibilité du Cese, elle a indiqué qu’il est nécessaire pour cette institution d’engager un travail d’explication aux membres de la société civile organisée pour qu’elle puisse participer au développement du pays par ses analyses, ses suggestions et son implication à la résolution des problématiques qui touchent les populations. «Le Cese est un important outil de développement que les Congolais ignorent. Ils doivent apprendre à le connaître et à l’utiliser», a-t-elle ajouté.
Aussi, elle a exprimé le vœu que le Premier ministre, Chef du gouvernement, M. Anatole Collinet Makosso, inscrive, au cours d’un séminaire gouvernemental, le thème sur les relations entre le Cese et les autres institutions du pays.
Brazzaville, 17 AOÛT (ACI) – La relance de l’économie nationale peut se faire en réactivant la consommation par des revenus réguliers et suffisants de la population active, a fait savoir, le 16 août à Brazzaville, la présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese), Mme Emilienne Raoul.
«Comme le Congo importe l’essentiel de ce que consomment les populations, ce sont les pays d’où proviennent ces importations qui sont les principaux bénéficiaires, en termes de croissance. C’est ainsi qu’après la consommation, l’investissement doit constituer le deuxième levier dans la relance de l’économie nationale», a-t-elle dit au cours d’une interview exclusive accordée à l’Aci.
A cette occasion, elle a suggéré l’identification des projets de diversification de l’économie nationale, particulièrement dans la transformation locale des ressources agro-pastorales et forestières.
A cette occasion, Mme Raoul a déploré la persistance de la pandémie du coronavirus qui a accentué les maux dont souffrent les populations depuis longtemps, entre autres le chômage des jeunes, le faible pouvoir d’achat des familles, le retard de paiement des pensions des retraités et des bourses des étudiants, les difficultés d’accès aux soins de qualité, à l’eau et à l’électricité, ainsi que l’augmentation du prix des denrées alimentaires.
Parlant de la visibilité du Cese, elle a indiqué qu’il est nécessaire pour cette institution d’engager un travail d’explication aux membres de la société civile organisée pour qu’elle puisse participer au développement du pays par ses analyses, ses suggestions et son implication à la résolution des problématiques qui touchent les populations. «Le Cese est un important outil de développement que les Congolais ignorent. Ils doivent apprendre à le connaître et à l’utiliser», a-t-elle ajouté.
Aussi, elle a exprimé le vœu que le Premier ministre, Chef du gouvernement, M. Anatole Collinet Makosso, inscrive, au cours d’un séminaire gouvernemental, le thème sur les relations entre le Cese et les autres institutions du pays.