Abidjan, 18 avr (AIP) – Le chef d’Apprompron-Afêwa, dans le département de Bettié à 60 km au sud d’Abengourou, a lancé un appel aux fils et filles du village à cesser de s’opposer et à s’accorder pour construire dans l’union le village qui est en plein essor.
« Ce que je veux, c’est que tous les cadres pensent au développement du village et apportent leur contribution en tournant le dos à la division que certains tentent d’entretenir entre les fils et cadres du village », a confié jeudi à l’AIP Nanan Akwa Kouadio II, 7ème chef d’Apprompron-Afêwa entouré de ses proches, dont la reine mère Adou Koffi Affra.
Dirigeant d’entreprise, le chef Akwa Kouadio II a été intronisé en 2010 dans le respect des us et coutumes. Après 10 ans de règne, il a jugé positif le bilan de sa gestion.
« Avant 2010, Apprompron buvait l’eau de marigot, j’ai fait venir l’eau potable, terminé à plus de 12 millions francs CFA, les travaux du château entamé par le conseil régional depuis huit ans », a relevé Nanan Akwa Kouadio II qui dit attendre toujours le remboursement de l’argent par l’entreprise payée pour la construction du château.
Le chef Akwa a fait savoir que l’argent des taxes sur le cacao en transit au Ghana lors de la crise en 2011 était de six millions et a permis de doter le village d’une ambulance aujourd’hui en panne. « Les Chinois sur les sites d’orpaillage, sous ma pression, ont décidé de nous faire don d’une deuxième ambulance », a annoncé Nanan Akwa Kouadio II.
Il a également mentionné la construction d’un bâtiment de trois classes en cours de finition et prévu des latrines dont les travaux débuteront fin avril.
Le chef d’Apprompon-Aféwa, évoquant la question de l’orpaillage, il a fait remarquer que chaque famille est responsable de ses terres. « Je ne participe pas aux négociations et quand il s’agit de fixer le prix de l’exploitation aux Chinois, c’est entre le vendeur et le client », a expliqué Nanan Akwa Kouadio II.
Le village d’Apprompon-Aféwa compte 22 000 âmes dont 9000 installées dans la forêt classée de « Adama école » à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Abidjan, 18 avr (AIP) – Le chef d’Apprompron-Afêwa, dans le département de Bettié à 60 km au sud d’Abengourou, a lancé un appel aux fils et filles du village à cesser de s’opposer et à s’accorder pour construire dans l’union le village qui est en plein essor.
« Ce que je veux, c’est que tous les cadres pensent au développement du village et apportent leur contribution en tournant le dos à la division que certains tentent d’entretenir entre les fils et cadres du village », a confié jeudi à l’AIP Nanan Akwa Kouadio II, 7ème chef d’Apprompron-Afêwa entouré de ses proches, dont la reine mère Adou Koffi Affra.
Dirigeant d’entreprise, le chef Akwa Kouadio II a été intronisé en 2010 dans le respect des us et coutumes. Après 10 ans de règne, il a jugé positif le bilan de sa gestion.
« Avant 2010, Apprompron buvait l’eau de marigot, j’ai fait venir l’eau potable, terminé à plus de 12 millions francs CFA, les travaux du château entamé par le conseil régional depuis huit ans », a relevé Nanan Akwa Kouadio II qui dit attendre toujours le remboursement de l’argent par l’entreprise payée pour la construction du château.
Le chef Akwa a fait savoir que l’argent des taxes sur le cacao en transit au Ghana lors de la crise en 2011 était de six millions et a permis de doter le village d’une ambulance aujourd’hui en panne. « Les Chinois sur les sites d’orpaillage, sous ma pression, ont décidé de nous faire don d’une deuxième ambulance », a annoncé Nanan Akwa Kouadio II.
Il a également mentionné la construction d’un bâtiment de trois classes en cours de finition et prévu des latrines dont les travaux débuteront fin avril.
Le chef d’Apprompon-Aféwa, évoquant la question de l’orpaillage, il a fait remarquer que chaque famille est responsable de ses terres. « Je ne participe pas aux négociations et quand il s’agit de fixer le prix de l’exploitation aux Chinois, c’est entre le vendeur et le client », a expliqué Nanan Akwa Kouadio II.
Le village d’Apprompon-Aféwa compte 22 000 âmes dont 9000 installées dans la forêt classée de « Adama école » à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Ghana.
