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Vers la validation des nouveaux programmes scolaires


  4 Septembre      43        Innovation (5637),

   

Brazzaville, 04 SEPT (ACI) – Les cadres de l’enseignement général examinent, du 3 au 13 septembre prochain à Brazzaville, les programmes révisés des classes de CP1 et CP2 au primaire ainsi que ceux des classes de 6ème et 5ème au Collège, en vue de valider ces documents attendus pour la prochaine rentrée scolaire.

Cet atelier de validation des nouveaux programmes éducatifs se déroule sous la forme de travaux en sous-commissions et en plénières. Deux grandes sous commissions sont constituées pour ces deux cycles.

Au cours des travaux, les participants vont scruter les supports de mise en œuvre (guides pédagogiques et cahiers d’activités des élèves), avec un focus sur les disciplines de français, des mathématiques et des sciences.

Datant  de plus de 20 ans, le système éducatif  congolais est confronté aux défis de la qualité et de l’efficience caractérisés, entre autres, par le taux élevé de redoublement et la qualité médiocre des acquis, a-t-on appris.

Pour y remédier, le ministère de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation (Meppsa), par le biais du Projet d’appui à l’amélioration du système éducatif (Praased), a sollicité l’appui du consultant international, spécialiste du curricula, M. Philippe Jonnaert, qui a accompagné techniquement l’équipe nationale dans l’analyse des curricula existants et la réécriture des savoirs, clés essentielles des trois matières depuis 2019.

Ouvrant les travaux dudit atelier, le ministre en charge de l’Enseignement général, M. Jean Luc Mouthou, a exprimé le souhait de voir changer ce tableau sombre. «Le discours sur les constats et des plaintes, concernant la qualité de l’éducation, est devenu récurrent et nous voulons au moins changer ce tableau sombre», a-t-il dit, appelant les participants à plus de maturité intellectuelle pour rendre perfectibles les documents soumis à leur appréciation.

De son côté, le coordonnateur du Praased, M. Calixte Kolyardo, a dit que cette activité de révision s’inscrit dans le cadre de la stratégie sectorielle de l’éducation 2015-2025 révisée pour la période 2021-2030, qui prévoit l’amélioration de la qualité de l’éducation, avec des supports pédagogiques rénovés pour mettre fin à ces difficultés.

Un autre champ de révision des programmes va s’ouvrir dans les prochains mois pour les classes de CE1, CE2, CM1 et CM2 pour le cycle primaire et pour celles de 4ème et 3ème pour le cycle du collège, a-t-il ajouté.

Cet atelier réunit les différentes parties prenantes et les acteurs du système éducatif, dont les structures bénéficiaires du Meppsa, l’Eni, l’Ens, l’Apeec, les syndicats des enseignants et des élèves, les Ptf et les organisations non gouvernementales du domaine de l’éducation.

Le Congo réalise ce programme de révision avec le financement de la Banque mondiale, dont la dernière révision des curricula a eu lieu en 2010. Outre la communauté éducative congolaise, d’autres partenaires internationaux ont participé à la réécriture de ces programmes éducatifs.

Vers la validation des nouveaux programmes scolaires


  4 Septembre      41        Innovation (5637),

   

Brazzaville, 04 SEPT (ACI) – Les cadres de l’enseignement général examinent, du 3 au 13 septembre prochain à Brazzaville, les programmes révisés des classes de CP1 et CP2 au primaire ainsi que ceux des classes de 6ème et 5ème au Collège, en vue de valider ces documents attendus pour la prochaine rentrée scolaire.

Cet atelier de validation des nouveaux programmes éducatifs se déroule sous la forme de travaux en sous-commissions et en plénières. Deux grandes sous commissions sont constituées pour ces deux cycles.

Au cours des travaux, les participants vont scruter les supports de mise en œuvre (guides pédagogiques et cahiers d’activités des élèves), avec un focus sur les disciplines de français, des mathématiques et des sciences.

Datant  de plus de 20 ans, le système éducatif  congolais est confronté aux défis de la qualité et de l’efficience caractérisés, entre autres, par le taux élevé de redoublement et la qualité médiocre des acquis, a-t-on appris.

Pour y remédier, le ministère de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’alphabétisation (Meppsa), par le biais du Projet d’appui à l’amélioration du système éducatif (Praased), a sollicité l’appui du consultant international, spécialiste du curricula, M. Philippe Jonnaert, qui a accompagné techniquement l’équipe nationale dans l’analyse des curricula existants et la réécriture des savoirs, clés essentielles des trois matières depuis 2019.

Ouvrant les travaux dudit atelier, le ministre en charge de l’Enseignement général, M. Jean Luc Mouthou, a exprimé le souhait de voir changer ce tableau sombre. «Le discours sur les constats et des plaintes, concernant la qualité de l’éducation, est devenu récurrent et nous voulons au moins changer ce tableau sombre», a-t-il dit, appelant les participants à plus de maturité intellectuelle pour rendre perfectibles les documents soumis à leur appréciation.

De son côté, le coordonnateur du Praased, M. Calixte Kolyardo, a dit que cette activité de révision s’inscrit dans le cadre de la stratégie sectorielle de l’éducation 2015-2025 révisée pour la période 2021-2030, qui prévoit l’amélioration de la qualité de l’éducation, avec des supports pédagogiques rénovés pour mettre fin à ces difficultés.

Un autre champ de révision des programmes va s’ouvrir dans les prochains mois pour les classes de CE1, CE2, CM1 et CM2 pour le cycle primaire et pour celles de 4ème et 3ème pour le cycle du collège, a-t-il ajouté.

Cet atelier réunit les différentes parties prenantes et les acteurs du système éducatif, dont les structures bénéficiaires du Meppsa, l’Eni, l’Ens, l’Apeec, les syndicats des enseignants et des élèves, les Ptf et les organisations non gouvernementales du domaine de l’éducation.

Le Congo réalise ce programme de révision avec le financement de la Banque mondiale, dont la dernière révision des curricula a eu lieu en 2010. Outre la communauté éducative congolaise, d’autres partenaires internationaux ont participé à la réécriture de ces programmes éducatifs.

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