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Les morts de la plage : Le gouvernement gabonais appelle à la préservation de l’unité, la paix et la cohésion nationale


  13 Juin      91        Politique (25379),

 

Libreville, 13 Juin (AGP) – En réponse aux affirmations non fondées distillées à travers le monde par une certaine presse internationale en collision avec certains acteurs politiques de l’opposition gabonaise, en panne d’inspiration, le Porte-parole du Gouvernement, Guy Bertrand Mapangou, a appelé à la préservation de l’unité, la paix et la cohésion nationale, qui est un devoir sacré pour le gouvernement, non sans mettre en garde les ennemis et les détracteurs du Gabon.

Suite aux rumeurs distillées dans l’opinion par une certaine presse internationale et les réseaux sociaux, faisant état de la mort par noyade d’une quinzaine d’élèves du CES d’Akébé de Libreville, le Gouvernement de la République, par l’entremise de son Porte-parole, Guy Bertrand Mapangou a fait une déclaration.

Selon le porte-parole du gouvernement, il s’agit de 4 enfants décédés. En l’état et selon la séparation des pouvoirs, les services compétents de la police judiciaire et du parquet mènent les enquêtes nécessaires sur la disparition de 4 jeunes gabonais dont 3 étaient régulièrement inscrits en classe de 4ème au sein de l’établissement secondaire cité plus haut.

La disparition de ces jeunes gabonais, considérée par le Gouvernement comme étant un drame national, qui ne le laisse pas indifférent, ne saurait faire l’objet de récupération à visées politiques, indique le ministre Mapangou. Il est inconcevable, voire immoral d’utiliser la douleur des familles et de la nation toute entière à des fins politiciennes inavouées, s’est-il insurgé.

Non sans pointer d’un doigt soupçonneux certains acteurs de l’opposition gabonaise, notamment ceux qui refusent d’aller aux prochaines élections législatives dont la tenue est indispensable pour la vitalité de la démocratie gabonaise. Il a fait constater à l’opinion nationale et internationale qu’à la veille de chaque consultation électorale, depuis 2009, des esprits malins et chagrins s’éveillent, voyant dans chaque décès d’un Gabonais un crime qu’ils qualifient de  »rituel ».

Relevant au passage que la responsabilité collective et le sens patriotique doivent interpeller les uns et les autres, lorsque le Gabon, son président et le peuple gabonais, sont traînés dans la boue et sacrifiés sur l’autel des ambitions politiques égoïstes, le Gouvernement, par son porte voix, a dit prendre à témoin l’opinion nationale et internationale devant ce qui s’apparente à une volonté manifeste de ternir à tout prix l’image et la réputation du Gabon.

Il met en garde les ennemis et les détracteurs du Gabon, tout en leur rappelant que  »le Gabon n’est ni un paillasson, ni un marche pied. Respectueux de la liberté de la presse et des droits de l’homme, notre pays a aussi le devoir sacré de préserver, par tous les moyens légaux, l’unité, la paix et la cohésion nationale, nos valeurs traditionnelles », a conclu Guy-Bertrand Mapangou.

SM/FSS

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