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EL HADJI OUMAR YOUM PRÔNE UN CONSENSUS NATIONAL POUR COMBATTRE LES ACCIDENTS


  22 Juillet      22        Leadership Africain (1995),

   

Dakar, 22 juil (APS) – Le ministre des Infrastructures, des Transports
terrestres et du Désenclavement, El hadj Oumar Youm, a plaidé lundi en
faveur d’une synergie des acteurs du secteur en vue de bâtir un
consensus national sur l’obligation de combattre l’insécurité
routière, insistant sur la nécessité de mettre chaque acteur devant
ses responsabilités.

« Tous les acteurs du transport doivent tous œuvrer ensemble à bâtir un
consensus national autour de l’impératif de combattre l’insécurité
routière en mettant chaque acteur devant ses responsabilités », a-t-il
déclaré.
El Hadj Oumar Youm s’exprimait lors d’un atelier national de
concertation sur la sécurité routière, dont le thème porte sur
« Sécurité routière : Bilan et perspectives ».
« Il s’agit de définir une nouvelle orientation nationale qui servira
d’axe stratégique pour donner des réponses adéquates sur la question
lancinante de l’insécurité routière », a-t-il expliqué.
« Cet atelier, a-t-il ajouté, devrait donc ouvrir une nouvelle
politique dans notre ambition collective de garantir durablement la
sécurité routière ».

Dans cette perspective, il a évoqué les mesures prises par les
pouvoirs publics, comme le renforcement du contrôle routier avec le
déploiement de la brigade mixte, la modernisation de la gouvernance du
permis de conduire, le renforcement du dispositif de contrôle
technique, les efforts faits pour intensifier l’éducation et la
sensibilisation en sécurité routière.

Avec ces initiatives, selon lui, le Sénégal amorce un virage décisif
dans la lutte contre la sécurité routière qu’il convient d’aborder
avec engagement, rigueur et pragmatisme.
« Il faut améliorer notre arsenal législatif et réglementaire à travers
l’actualisation de nos textes notamment le code de la route, la loi
d’orientation sur les transports terrestres », a-t-il aussi indiqué.

De son côté, Seydou Diouf, le président des parlementaires pour la
sécurité, a déploré le comportement de certains chauffeurs, du piéton
qui ne traverse pas sur des passages cloutés et celui de l’agent de
sécurité qui laisse passer des camions en surcharge.

« On doit se focaliser sur le facteur comportemental et améliorer la
sécurité des véhicules et surtout adapter notre dispositif normatif au
nouveau contexte de normalisation des routes si on veut diminuer
simultanément les risques d’accident sur les routes », a-t-il notamment
suggéré.
« Avant ils (les chauffeurs) nous disaient que les accidents sont
nombreux parce que les routes ne sont pas bien faites alors que nous
avons aujourd’hui des routes modernisées et des autoroutes », a-t-il
fait remarquer.

EL HADJI OUMAR YOUM PRÔNE UN CONSENSUS NATIONAL POUR COMBATTRE LES ACCIDENTS


  22 Juillet      21        Leadership Africain (1995),

   

Dakar, 22 juil (APS) – Le ministre des Infrastructures, des Transports
terrestres et du Désenclavement, El hadj Oumar Youm, a plaidé lundi en
faveur d’une synergie des acteurs du secteur en vue de bâtir un
consensus national sur l’obligation de combattre l’insécurité
routière, insistant sur la nécessité de mettre chaque acteur devant
ses responsabilités.

« Tous les acteurs du transport doivent tous œuvrer ensemble à bâtir un
consensus national autour de l’impératif de combattre l’insécurité
routière en mettant chaque acteur devant ses responsabilités », a-t-il
déclaré.
El Hadj Oumar Youm s’exprimait lors d’un atelier national de
concertation sur la sécurité routière, dont le thème porte sur
« Sécurité routière : Bilan et perspectives ».
« Il s’agit de définir une nouvelle orientation nationale qui servira
d’axe stratégique pour donner des réponses adéquates sur la question
lancinante de l’insécurité routière », a-t-il expliqué.
« Cet atelier, a-t-il ajouté, devrait donc ouvrir une nouvelle
politique dans notre ambition collective de garantir durablement la
sécurité routière ».

Dans cette perspective, il a évoqué les mesures prises par les
pouvoirs publics, comme le renforcement du contrôle routier avec le
déploiement de la brigade mixte, la modernisation de la gouvernance du
permis de conduire, le renforcement du dispositif de contrôle
technique, les efforts faits pour intensifier l’éducation et la
sensibilisation en sécurité routière.

Avec ces initiatives, selon lui, le Sénégal amorce un virage décisif
dans la lutte contre la sécurité routière qu’il convient d’aborder
avec engagement, rigueur et pragmatisme.
« Il faut améliorer notre arsenal législatif et réglementaire à travers
l’actualisation de nos textes notamment le code de la route, la loi
d’orientation sur les transports terrestres », a-t-il aussi indiqué.

De son côté, Seydou Diouf, le président des parlementaires pour la
sécurité, a déploré le comportement de certains chauffeurs, du piéton
qui ne traverse pas sur des passages cloutés et celui de l’agent de
sécurité qui laisse passer des camions en surcharge.

« On doit se focaliser sur le facteur comportemental et améliorer la
sécurité des véhicules et surtout adapter notre dispositif normatif au
nouveau contexte de normalisation des routes si on veut diminuer
simultanément les risques d’accident sur les routes », a-t-il notamment
suggéré.
« Avant ils (les chauffeurs) nous disaient que les accidents sont
nombreux parce que les routes ne sont pas bien faites alors que nous
avons aujourd’hui des routes modernisées et des autoroutes », a-t-il
fait remarquer.

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