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« Le Burkina Faso a fait de la santé de la reproduction une priorité » (Alpha Barry)


  7 Septembre      22        Editor's choice (2823), LeaderShip Feminin (11285),

   

Ouagadougou 7 sept.2021 (AIB)-Le chef de la diplomatie burkinabè Alpha Barry a affirmé lundi, que «le Burkina Faso a fait de la santé de la reproduction une priorité», afin de garantir  une vie sexuelle saine à la population.

«Le Burkina Faso a fait de la santé de la reproduction, une priorité parce la Constitution du 2 juin 1992, le code des personnes et de la famille en passant par les textes et les lois internes, les droits et la dignité des populations à une vie sexuelle saine sont garantis» a affirme le ministre Alpha Barry.

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de l’Intégration africaine et des Burkinabè de l’extérieur, a ajouté que « la disparité des législations d’un Etat à un autre, constitue un frein à une approche globale et harmonisée des politiques adoptées dans les cadres de la santé de la reproduction»

Il s’exprimait hier lundi à Ouagadougou, au cours d’un atelier régional d’échanges sur les législations en matière de la santé de la reproduction dans l’espace CEDEAO dont le quotidien Sidwaya en fait un compte rendu mardi.

«Les droits de la santé sexuelle et reproductive constituent une préoccupation majeure pour les pays de la CEDEAO» a déclaré le Directeur Général de l’Organisation ouest africaine de la Santé Stanley Okolo, d’après Sidwaya.

Il a souhaité que Ouagadougou soit le point de départ vers l’adoption des textes législatifs harmonisés sur les droits de la santé sexuelle et reproductive dans cette zone ouest africaine.

Pour le ministre burkinabè de la Santé Pr Charlemagne Ouédraogo, ceci permettra aussi aux personnes qui passent d’une frontière à une autre, d’être au courant de ce qui existe en matière de santé sexuelle et reproductive et les droits qui vont l’accompagner.

L’atelier de Ouagadougou est organisé dans le cadre de la mise en œuvre du projet Démographie et santé sexuelle et de la reproduction (DEMSAN), financé par l’Agence française de développement (AFD).

En rappel, le Burkina Faso a déclaré en juillet 2020, la gratuité des soins et des services de planification familiale.

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