GNA Office of the Registrar of Companies faces temporary connectivity challenge  GNA My government will empower women in fisheries sector – Dr Bawumia GNA All Regional Games to unearth Ghanaian talents without bias-Asamoah Gyan MAP FM Meets Brunei’s Second Minister of Foreign Affairs in Banjul MAP Morocco’s FM Holds Talks with Mauritanian Peer in Banjul MAP FM Bourita Meets Senegalese Minister of African Integration and Foreign Affairs in Banjul MAP 15th OIC Summit: Morocco Takes Part in FMs’ Meeting in Banjul MAP Moroccan, Malian FMs Hold Talks on Means to Boost Bilateral Ties MAP Moroccan FM Holds Talks with his Gabonese Counterpart in Banjul MAP Bourita Holds Talks with Nigerien FM in Banjul

Le Premier ministre ivoirien souhaite « une composition de la CEI acceptée de tous »


  29 Mars      16        Politics (18688), Society (33436),

   

Abidjan, 29 mars (AIP) – Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly souhaite qu’au terme des discussions avec les partis politiques et la société civile, les acteurs s’accordent sur « une composition de la Commission électorale indépendante (CEI) acceptée de tous ».

« Je souhaite que tous les acteurs soient disposés à s’inscrire dans un dialogue constructif, empreint d’une grande responsabilité et d’une volonté commune d’aboutir à une composition de la CEI acceptée de tous », a déclaré Amadou Gon Coulibaly, lors d’une rencontre tenue à la Primature avec les Organisations de la société civile (OSC).

Pour le chef du gouvernement ivoirien, la question de la CEI est au cœur du processus électoral et elle doit donc être abordée avec lucidité, courage et sans passion. « Il nous appartient, à tous, de faire en sorte que le réexamen de la composition de la CEI soit l’occasion d’une confrontation d’idées et de points de vue techniques », a-t-il ajouté, dans le cadre de la deuxième phase du processus de dialogue sur la réforme de la CEI.

Selon lui, le processus entamé doit être également l’occasion d’une affirmation par tous de la volonté de sortir définitivement des violences électorales qui résultent plus des querelles politiciennes que de la défaillance du système électoral.

La composition de la commission centrale, la représentation de la société civile, la composition du bureau, le mode de désignation des membres, la problématique des commissions locales seront l’objet de discussions plus approfondies.

La société civile dispose de deux semaines pour faire parvenir sa position sur ces questions, au sein d’un comité technique de dix membres comprenant des personnalités du gouvernement et de la société civile.

Dans la même catégorie