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COVID-19 : PARUTION D’UN OUVRAGE RASSEMBLANT LES RÉCITS DE 20 HOMMES ET FEMMES AFRICAINS


  12 Octobre      44        Arts & Cultures (3089),

 

Dakar, 12 oct (APS) – Les éditions Venus d’ébène du Bénin viennent de publier un ouvrage collectif intitulé « Regards croisés sur le coronavirus : le vécu individuel de 20 auteurs », qui compile les récits de 20 femmes et hommes du continent dont Mamadou Amath, ancien rédacteur en chef de l’Agence de presse sénégalaise (APS).

Dans ce livre préfacé par le professeur Ascersion Bogniabo, doyen de la faculté des Lettres, Arts et Sciences humaines de l’Université d’Abomey-Caavi (Bénin), les auteurs livrent leur vécu en rapport avec la pandémie de Covid-19.

Ce projet, conçu et coordonné par l’écrivaine béninoise Adélaïde Fassinou, a consisté à regrouper des témoignages revêtant des formes aussi diverses que variées, allant de la nouvelle à la poésie en passant par la fantaisie, voire la réflexion philosophique.

Les différents textes ont chacun leur particularité, leur singularité, mais le dénominateur commun est la pandémie et, surtout, le confinement à domicile auquel il a donné lieu ici et là, contraignant les uns et les autres à s’adapter, renseigne un communiqué trasmis à l’APS.

L’initiatrice y explique que pendant cette période d’oisiveté forcée et subie, elle lisait énormément et écoutait beaucoup la radio. Et ce qu’elle apprenait ainsi lui fit très peur.

« Cet effroi engendré par la covid-19 a fait que j’avais trouvé pour thérapie principale l’écriture. Il fallait exhumer de mes tripes cette peur que j’avais et qui envahissait tout le monde. C’est ainsi que j’ai commencé à rédiger mon texte sur le coronavirus, un texte que j’ai intitulé ’Coronasoliloque’. A un moment donné, j’en ai parlé à mes connaissances, à mes collègues auteurs puisque je n’étais pas seule à vivre dans cet effroi… « , écrit l’écrivaine Adélaide Eassinou.

Dans cet exercice, le journaliste sénégalais Mamadou Amath
partage « les préoccupations existentielles d’un homme dont la journée de ramadan qui vient de débuter s’annonce trop longue et morose à cause du discours livré par le président de la République et du comportement de certains citoyens ».

Dans la préface du livre, intitulée « La guerre de l’invisible », le professeur Ascension Bogniaho, livre une « analyse extrêmement dense et profonde » de l’état actuel des relations internationales et invite le monde entier, en particulier les puissances et superpuissances, à une incontournable humilité, le virus, ce petit être invisible à l’œil nu, venant prouver que « la nature a des lois que la science n’a pas encore percées ».

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