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Gabon: Vers le bitumage des tronçons Kougouleu-Medouneu et Oyem-Medzeng


  10 Février      419        Société (45143),

 

Libreville, 10 Février (AGP) – Les tronçons de la route nationale Kougouleu-Medouneu et Oyem-Medzeng, dans la province du Woleu-Ntem (nord), seront bientôt bitumés dans le cadre du projet intégrateur du réseau routier de la Communauté économique de l’Afrique centrale (CEMAC), a-t-on appris de source informée, le mardi 3 février dernier à Oyem, le chef-lieu de province.

C’est dans cette optique qu’une délégation du ministère gabonais des Travaux Publics (TP), conduite par Pascal Loukoussa, séjourne depuis mardi dernier à Oyem, en vue de prendre attache avec les autorités administratives locales, en tête desquelles le gouverneur du Woleu-Ntem, Joël Ogouma.

«Nous sommes actuellement au niveau d’Oyem dans le cadre du projet intégrateur du réseau routier de la CEMAC, dans les termes de références relatifs au recrutement des bureaux d’études du pool d’aménagement et de bitumage des tronçons de route Kougouleu-Medouneu, Oyem-frontière Guinée Equatoriale, et Makokou –Mekambo –Ekata», a déclaré M. Loukoussa, chef de service ‘’Ressources humaines et Moyens généraux’’ au Laboratoire national du ministère des TP.

M. Loukoussa, qui est notamment secondé par Roland Ndomana (Laborantin), a indiqué que la CEMAC a explicitement réservé la partie concernant la géotechnique au Laboratoire national du bâtiment et des travaux publics (LNTPG) du Gabon, qu’ils ont été mandatés pour venir à Oyem pour étudier la possibilité d’installation des équipes mobilisées par le ministère des TP peut s’y installer en vue de réaliser ces études géotechniques. A noter que les tronçons de route nationale Kougouleu-Medouneu – et Oyem-Medzeng à la frontière de la Guinée Equatoriale, sont longs respectivement de 100 km et 37 km.

C’est dans ce cadre qu’ils ont rencontré le Directeur provincial des TP, faire les civilités et leur signifier qu’il y a des équipes qui vont venir dans le cadre de ce projet. C’est une quinzaine de personnes qui vont venir s’installer pour un minimum de trois mois dans leur cité.

Ces études consistent à pouvoir étudier le sol pour permettre aux équipes qui vont venir faire la réalisation même de la route, de connaître le type de sol, la qualité de la terre avant de s’employer à faire la réalisation.

Le Projet intégrateur du réseau routier de la CEMAC avait été adopté le 20 juillet 2000 à Yaoundé (Cameroun). Il était question essentiellement de la réalisation, à court terme, des liaisons inter-capitales, des corridors de transit et des liaisons d’interconnexion permettant le maillage du réseau; ainsi que de permettre de circuler sur une voie entièrement bitumée d’une capitale à une autre.

A moyen terme, les 6 Etats de la CEMAC (Cameroun, Centrafrique, Congo Brazzaville, Gabon, Guinée Equatoriale et Tchad), prévoyaient de mettre en place un cadre consensuel sous-régional pour les négociations, en vue de mobiliser les investissements dans le domaine des infrastructures de transport. Quant au long terme, ce projet prévoyait de doter l’Afrique centrale d’un système de transport fiable et à moindre coût, favorisant la libre circulation des personnes et des biens, et qui soit en mesure d’appuyer le développement des échanges entre les pays, et donc l’intégration économique.

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