Abidjan, 11 août 2020 (AIP)- Le sous-préfet de Tiémélékro, N’Zi Donatien-Maurice, a relevé des « points satisfaisants » dans divers domaines pour le développement de sa circonscription administrative à l’occasion de la fête nationale, le 7 août 2020.
« L’ensemble de nos pistes sont en cours de reprofilage. Les axes de Diékadiokro-Tiémélékro, Songassou-tiémélékro, Djangobo-N’gohinou ont bénéficié d’un reprofilage lourd. Ces axes feront l’objet d’un entretien régulier. L’axe Tiémélékro-Katchénou bénéficiera dans les jours à venir d’un reprofilage lourd », s’est réjoui M. N’Zi, annonçant que l’axe Tiémélékro-Tomidanou-kouadiotèkro-Djamalabo ainsi que l’axe Kouadiotèkro-Yobouébo seront également reprofilés avant la fin de l’année.
En matière d’électrification, a-t-il dit, seul le village de Yobouébo est à ce jour en attente du réseau électrique dans notre Circonscription. Des dispositions sont en cours pour y remédier.
En outre, dans le secteur de l’hydraulique, les villages de N’gohinou, Diangobo et Diékabo bénéficient de l’hydraulique urbaine. Les travaux sont en cours pour permettre aux populations de ces villages de bénéficier de l’eau courante.
Dans le domaine médical, le centre de santé urbain disposera désormais d’un laboratoire grâce à un investissement de la mairie. Le matériel acquis sera installé dès la semaine prochaine. Le laboratoire sera donc fonctionnel à la même période. Merci à Monsieur le Maire pour sa contribution personnelle à la réhabilitation des locaux devant abriter ledit service.
« Chers parents de Tiémélékro, vous n’aurez donc plus besoin de vous rendre à Dimbokro pour vos examens médicaux. Votre centre sera désormais à même de vous fournir ces prestations, grâce à vos élus. Je vous invite donc à fréquenter le centre pour bénéficier de la qualité des soins qui y sont offerts et des investissements réalisés », a exhorté le sous-préfet.
Il a félicité et encouragé l’ensemble des chefs de service qui mettent tout en œuvre pour le bien-être de nos populations, et ce, en dépit des nombreuses difficultés de fonctionnement, non sans souligner que « tous ces efforts de l’Etat ne sauraient contribuer au bien-être de chacun et de tous si nous restons indifférents face à nos responsabilités individuelles et collectives dans la construction de la Côte d’Ivoire moderne ».
