Kinshasa, 20 janvier 2023 (ACP).-Le ministre de l’Industrie, Julien Paluku et l’ambassadeur de Grande Bretagne, Emily Maltman ont échangé sur les possibilités d’augmenter les investissements en République démocratique du Congo (RDC) dans de différents secteurs, a révélé vendredi un communiqué du ministère de l’Industrie.
« J’ai rencontré le ministre de l’Industrie pour savoir comment avoir des relations commerciales, comment le Royaume Uni peut augmenter les investissements en RDC dans plusieurs secteurs comme l’énergie, surtout l’énergie renouvelable, le secteur minier, le secteur agricole, les infrastructures », a déclaré l’ambassadeur de Grande Bretagne en République démocratique du Congo.
Elle a fait cette déclaration en rapport avec le Sommet « Financial Times Africa », tenu du 18 au 19 octobre 2022 à Londres qui avait comme objectif d’attirer les investisseurs anglais en Afrique.
« Il était question d’une évaluation sur le sommet « Financial Times Africa » qui s’est tenu du 18 au 19 octobre 2022 à Londres, lequel était axé sur les opportunités d’investir en Afrique et les obstacles qui freinent les flux des investissements dans les secteurs de l’énergie, la technologie et l’agro- alimentaire », a dit substance Emily Maltman à l’issue de leurs échanges avec le ministre de l’Industrie.
Au cours de cette réunion, la diplomate britannique très attirée par les opportunités qu’offrent les zones économiques spéciales en RDC, a fait remarquer au ministre de l’Industrie, Julien PalukuKahongya que son pays est disposé à signer un partenariat avec la République démocratique du Congo (RDC) qui pourra exporter ses produits vers le Royaume-Uni sans frais des douanes et ce, à l’instar de la loi sur la croissance et les opportunités économiques en Afrique (AGOA).
« Nous avons échangé sur comment nous pouvons encourager les entreprises britanniques à investir en RDC mais aussi à travailler avec les entreprises congolaises pour exporter au Royaume-Uni. C’est une belle opportunité pour avoir des investissements dans les zones économiques spéciales et comment nous pouvons encourager plusieurs entreprises britanniques d’en profiter », a-t-elle conclu
