Kpalimé, 22 jan. (ATOP) – La Fondation Monika Hoffeld (FMH), dans le cadre de son projet social, a fait don de kits alimentaires aux pensionnaires de l’Orphelinat Monseigneur Seshie, le samedi 21 janvier à ZomayiAdedjenu, dans la banlieue-ouest de la ville de Kpalimé.
Le don est composé de 10 sacs de riz de 50 kg, de deux bidons d’huile de 25 litres, de cinq cartons de pâtes alimentaires (macaroni), de deux cartons de sardines (pilchards), de deux cartons de tomates concentrées grand format.
Cette action de la FMH intervient à l’occasion des cérémonies de démarrage officiel des activités de l’Orphelinat Mgr Seshie. L’objectif est de marquer ce jour à travers cette action afin de donner un sourire à ces enfants, de leur permettre de manger à leur faim comme les autres enfants et de recevoir une meilleure éducation.
Ce geste est aussi un moyen de rassurer les bénéficiaires du soutien dont ils font objet de la part des bonnes volontés comme FMH. Il traduit aussi la volonté des responsables de la Fondation Monika Hoffeld d’être plus proche de ces enfants en situation de vulnérabilité.
A l’occasion, le président de la FMH, Hounsinou Marius a expliqué que sa fondation étant toujours à l’écoute des enfants et surtout des orphelins et enfants vulnérables, il n’a pas hésité à intervenir pour apporter un peu de sourire aux pensionnaires, lorsqu’il a appris l’ouverture officielle de ce centre d’accueil des enfants vulnérables. « Ceux qui n’ont personne, on le dit souvent, Dieu pourvoit à leurs besoins et nous aussi, sommes là pour les aider », a indiqué M. Hounsinou.
Le président Hounsinou a demandé aux bénéficiaires d’étre dociles, de respecter les tatas, de se soumettre à leurs recommandations et de bien travailler à l’école. Il a invité les bonnes volontés à manifester leur amour et intérêts envers ces pensionnaires en leur apportant tous ceux dont ils auront besoin, et en soutenant leur éducation scolaire. « Nous devons tous œuvrer pour le devenir, l’épanouissement et bien-être de ces enfants en assurant leur intégration socioculturel et psychique », a exhorté le président de la Fondation Monika Hoffeld.