Lomé, 13 déc. (ATOP) – La délégation togolaise ayant pris part du 31 octobre au 12 novembre à la COP-26 à Glasgow en Ecosse, a fait le bilan de sa participation à cette conférence mondiale sur le climat, le vendredi 10 décembre à Lomé.
Cette rencontre-bilan a réuni les participants composés de la faitière des maires, du conseil national du patronat, des organisations de la société civile intervenant dans le domaine de l’environnement et de la délégation du ministère en charge de l’Environnement. Au terme de cette conférence sur le climat, les participants se sont retrouvés pour échanger sur la participation du Togo.
L’objectif est de faire le point des résultats obtenus et d’identifier des pistes de projection vers la prochaine COP qui se tiendra sur le continent. Les travaux ont permis aussi de parcourir toutes les résolutions et les décisions qui ont été prises à la COP 26, de tirer les leçons afin de saisir les opportunités qui s’offrent pour soulager la souffrance des populations. La moisson ramenée du sommet se présente sous forme d’annonces, de promesses, d’engagements et de perspectives résultant des rencontres avec des partenaires bilatéraux et multilatéraux.
Le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement et des Ressources forestières, Kodjo Awougnon, en ouvrant les travaux, a félicité tous ceux qui ont œuvré pour l’éclat particulier de la participation du Togo à cette COP. Il a remercié les partenaires bilatéraux et multilatéraux qui accordent leur précieux accompagnement au Togo dans ses efforts de lutte contre les changements climatiques.
Le représentant résident par intérim du PNUD au Togo, Mactar Fall a encouragé les participants à sortir de cette rencontre avec une feuille de route claire et des idées bien ficelées pour un meilleur accès à la finance climatique. Il a d’ores et déjà rassuré que son institution est résolument engagé à accompagner le Togo dans ses efforts de lutte contre les changements climatiques à travers l’appui à la mise en œuvre des projets.
La COP-26 a permis aux pays de discuter des voies et moyens à mettre en œuvre en termes de réduction des émissions. Elle a été aussi l’occasion pour les différentes parties d’expliquer les possibilités de mobilisation des financements nécessaires pour faire face aux besoins d’adaptation afin de réduire la vulnérabilité des communautés et des écosystèmes surtout dans les pays en développement.
ATOP/KYA/OAF
