Au Gabon, +l’Union+ s’intéresse au secteur de l’enseignement, écrivant dans ce sens que la Commission pour l’Enseignement supérieur privé vient de retirer à plusieurs établissements le droit d’accueillir des étudiants pour la nouvelle année académique.
Et de poursuivre que les autorités veulent mettre de l’ordre dans l’univers parfois interlope de l’enseignement supérieur privé.
Evoquant le sommet Russie-Afrique, la publication souligne que le président russe Vladimir Poutine a promis hier à l’ouverture de ce sommet un doublement dans les cinq ans des échanges commerciaux avec le continent.
A Djibouti, la presse locale focalise son attention sur les efforts déployés par le gouvernement pour intégrer les personnes à besoins spécifiques dans le système d’éducation et de formation.
Le quotidien +La Nation+ rapporte que le ministère de l’Education nationale et de la Formation professionnelle a procédé au lancement d’une opération de distribution de manuels scolaires en braille destinés aux élèves à besoins spécifiques.
Lors de la cérémonie de remise, le ministre de l’Education nationale et de la Formation professionnelle, Moustapha Mohamed Mahamoud, a réaffirmé l’engagement du gouvernement djiboutien à mettre en place « une école inclusive offrant une éducation de qualité à tous les élèves ».
Au Ghana, +Daily Graphic+ s’intéresse à l’ouverture de la troisième session de la septième législature du parlement, avec un appel aux députés pour qu’ils fassent preuve d’engagement envers les travaux de la Chambre.
Le Président du Parlement, le professeur Aaron Mike Ocquaye, a noté qu’un certain nombre de projets de loi importants doivent être examinés et débattus à la Chambre avant la fin de l’année, souligne le quotidien.
Côté sport, +Ghanaian Times+ s’intéresse à l’élection d’un nouveau président de la fédération ghanéenne de football (GFA), prévue vendredi prochain, notant que le comité de normalisation a reçu la demande de candidature de 7 candidats.
Au Kenya, « Daily Nation » rapporte que les députés ont exprimé leur inquiétude devant le nombre élevé de riches Kényans se rendant à l’étranger pour se faire soigner dans le cadre de la Caisse nationale d’assurance hospitalisation (NHIF) au détriment des citoyens pauvres.
Les documents relatifs aux états financiers présentés devant le Comité de la santé de l’Assemblée nationale mercredi ont révélé que la NHIF avait versé 17 milliards de shillings (environ 170 millions de dollars) au titre de programmes spécialisés destinés aux patients ayant cherché un traitement à l’étranger au cours de l’exercice 2018/2019.
Les députés ont demandé à la NHIF d’expliquer pourquoi elle avait versé plus d’argent aux hôpitaux privés.
Le rapport sur le remboursement financier aux hôpitaux indique que les hôpitaux privés ont englouti 22 milliards de shillings par rapport aux hôpitaux publics, qui n’en ont reçu que 7 milliards de shillings.
Les législateurs ont enjoint à la NHIF de fournir la liste des hôpitaux privés ayant bénéficié de la cagnotte et les noms des personnes aidées par la caisse d’assurance à se faire soigner à l’étranger, souligne le journal.
