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Bulletin de l’écologie de l’Afrique


  9 Mars      24        Environment (3678),

   

Dakar, 09/03/2019 (MAP) – Voici le bulletin de l’écologie de l’Afrique pour la journée du samedi 09 mars:

Sénégal:

Le programme sur le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (CCAFS en anglais) organise lundi à Dakar un atelier de revue à mi-parcours du projet USAID/CINSERE, annonce un communiqué.

La cérémonie d’ouverture sera présidée par le ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires, Maimouna Ndoye Seck, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck, et l’ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, Tulinabo S. Mushingi.

L’objectif principal de l’atelier est de « partager avec les différentes parties prenantes les connaissances acquises et les leçons apprises de l’USAID/CINSERE et de la plateforme science politique pour l’adaptation de l’agriculture et de la sécurité alimentaire au changement climatique (CCASA) ».

Togo:

Une solution basée sur la téléphonie mobile devrait désormais permettre aux populations togolaises de disposer d’eau potable en continu.

Mise en place dans le cadre d’un projet dénommé SOFIE (Suivi des Ouvrages de Forage et des Indicateurs pour l’Eau), cette solution vise concrètement à permettre aux populations de signaler rapidement les pannes sur les ouvrages de forage d’eau, de suivre, accélérer les réparations et d’apprécier l’efficacité des intervenants.

Kenya:

Le Kenya fait partie des pays identifiés comme ayant une eau du robinet impropre à la consommation. C’est l’un des 187 pays du monde où l’eau du robinet est considérée comme insalubre ou peu appétissante pour les touristes, révèle un rapport de Globehunters qui a conçu une infographie basée sur les directives officielles des Centers for Disease Control.

Le guide établit clairement la distinction entre les lieux sûrs et les lieux à risque avec une carte codée en couleur et une liste définitive de destinations.

Sans surprise, l’eau du robinet la plus sûre se trouve dans les pays développés, y compris au Royaume-Uni, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Europe du Nord et de l’Ouest, États-Unis et Japon.

À l’inverse, des pays tels que l’Amérique centrale, l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient sont considérés comme présentant un risque élevé.

Ceci dit, relève le rapport, « ce n’est pas parce qu’un pays est inclus dans la liste « insalubre » que son eau de robinet est sale – elle pourrait tout simplement ne pas convenir aux visiteurs ».

Cela signifie que les voyageurs peuvent tomber malades parce que les agents pathogènes présents dans l’eau sont étrangers à leur système immunitaire et non pas parce que l’eau est infecté.

Cependant, les dangers restent prononcés. Selon l’Organisation mondiale de la santé, environ 842.000 personnes décéderaient chaque année de diarrhée en raison de l’abreuvement de l’eau potable, de l’assainissement et de l’hygiène des mains.

L’OMS ajoute que l’eau contaminée et le manque d’assainissement sont liés à la transmission de maladies telles que le choléra, la diarrhée, la dysenterie, l’hépatite A, la typhoïde et la poliomyélite.

RDC:

La FAO s’engage à aider la République démocratique du Congo (RDC) à produire les informations fiables sur les ressources forestières afin de mettre en place de bonnes politiques sur les forêts et permettre une planification et un développement durable de celles-ci, a déclaré M. Judicaël Pazou, représentant de cet organisme onusien.

Au cours d’une réunion vendredi à Kinshasa, sur la mise en œuvre du processus du système national de surveillance de forêts en RDC, il a relevé que la RDC s’est engagée dans le processus de réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forets, conservation et augmentation de stocks de carbone forestier et gestion durable des forets (REDD+) en 2009.

Avec le soutien de partenaires, le gouvernement congolais a pris des mesures importantes qui visent à réduire sa déforestation et sa dégradation.

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