MAP Sénégal: le bilan de l’accident d’un bus de transport grimpe à 14 morts MAP Guinée: 16 morts et 52 blessés dans un accident de la route MAP La 15ème Conférence islamique au sommet, les 4 et 5 mai à Banjul APS SENEGAL-AFRIQUE-CULTURE-REACTION / Report du 15e Dak’art : ”une décision murie et réfléchie” (secrétaire générale) – Agence de presse sénégalaise – APS APS SENEGAL-SANTE / Paludisme : moins de cinq cas sur 1000 patients consultés au district sanitaire de Richard Toll (médecin chef) APS SENEGAL-MONDE-SPORT-ENTREPRENEURIAT / NBA Afrique lance une initiative pour accompagner des startups du continent – Agence de presse sénégalaise – APS APS SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURES / Les ICS inaugurent une nouvelle maternité à Darou Khoudoss – Agence de presse sénégalaise – APS ANG Diplomacia/Yang Renhuo é novo Embaixador da República Popular da China na Guiné-Bissau Tchaoudjo/L’huilerie de Yélivo redémarre ses activités ATOP Tchaoudjo/L’ARETHES renforce les capacités de ses membres régisseurs lumière

Bulletin de l’écologie de l’Afrique


  28 Novembre      93        Environnement/Eaux/Forêts (6478),

 

Rabat, 28/11/2018 (MAP) – Voici le bulletin de l’écologie de l’Afrique pour la journée du mercredi 28 novembre :
Sénégal :

Le gouverneur de Matam, Oumar Mamadou Baldé, a salué la perspective de redynamisation du comité régional sur les changements climatiques (COMRECC), dont les membres viennent de bénéficier d’un renforcement des capacités dans une région servant de porte d’entrée du désert au Sénégal.

« Comme vous le savez, la région de Matam est l’une des régions les plus exposées » aux changements climatiques au Sénégal, servant de « porte d’entrée du désert pour le Sénégal », a-t-il déclaré lors de la clôture d’un atelier d’installation du comité régional sur les changements climatiques (CMRECC).

Compte tenu « des effets très néfastes de ces changements climatiques, au niveau d’abord de nos localités » mais également au regard d’un certain nombre de phénomènes, il fallait redynamiser ce comité régional en organisant des séances de renforcement de capacités pour ses membres, a-t-il relevé.

Les objectifs visés « ont été atteints et cela a permis aux acteurs territoriaux d’être sensibilisés sur les enjeux des changements climatiques », a-t-il encore dit.

Gabon:

Plusieurs scientifiques ont débattu, la semaine écoulée à Libreville, de la thématique de l’Urbanisation et de l’environnement littoral, « les estuaires autour de Libreville : défis actuels et opportunités ».

A cette occasion, les participants ont appelé à trouver des solutions d’atténuation et de gestion de risque d’érosion côtière et ses impacts environnementaux et socioéconomiques, attirant l’attention sur la croissance urbaine que vit la capitale gabonaise, les risques et l’environnement avoisinant Libreville.

Niger:

Plusieurs centaines d’hectares de riz ont été détruits dans les inondations survenues début novembre dans la région de Diffa, dans le sud-est du Niger.

Plus de 400 hectares de riz, soit une production de près de 3.000 tonnes, ont été perdus, selon le gouvernorat de la région. Les pertes sont chiffrées à plus de 717 millions de francs CFA (plus d’un million d’euros).

Les inondations ont été provoquées par la crue de la Komadougou Yobé, une rivière prenant sa source au Nigeria voisin, selon les services nigériens de la météorologie.

Ghana:

Un groupe de jeunes experts en technologies de l’information et de la communication (TIC) a mis au point un logiciel, baptisée « Hackathon de l’assainissement », afin de relever les défis environnementaux du Ghana.

Cette technologie, qui serait utilisée dans la gestion des déchets liquides et solides, est une initiative de la Banque mondiale, en collaboration avec le ministère de l’Assainissement et des Ressources en Eau (MSWR).

Le ‘Sanitation Hackathon’ a été créé par des développeurs de logiciels, des programmeurs, des graphistes et des concepteurs d’interfaces afin de résoudre les problèmes de déchets liquides et solides dans le pays.
Rwanda :

Les participants au Forum africain de la croissance verte, « Africa Green Growth Forum », qui se tient du 26 au 30 courant à Kigali, ont appelé le secteur privé africain à investir davantage dans les technologies vertes pour réussir la transition progressive vers la croissance verte.

« La croissance verte ne signifie pas croissance limitée, mais croissance intelligente et pérenne », a insisté le ministre rwandais de l’environnement, Vincent Biruta, lors de la deuxième journée de ce forum placé sous le thème « Pour une Afrique verte et résiliente », expliquant que la transition vers la croissance verte protégera les moyens de subsistance, améliorera la sécurité hydrique, énergétique et alimentaire et stimulera l’innovation, la création d’emplois et le développement économique.

« Au Rwanda, nous investissons dans la croissance verte de plusieurs manières, en se focalisant sur les énergies propres, la gestion des déchets et l’urbanisation verte. Actuellement, les énergies renouvelables représentent environ 70% de la production énergétique », s’est-il félicité.

Côte d’Ivoire :

Les particularités de l’expérience marocaine en matière de développement des énergies renouvelables ont été exposées, mardi à Abidjan, lors du 1er Forum ivoirien de l’Efficacité énergétique.

Co-organisé par l’Agence marocaine de l’efficacité énergétique (AMEE), la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat) et AOB Group, ce Forum s’inscrit dans le cadre de la 4ème édition des Rencontres africaines de l’efficacité énergétique.

Les travaux du Forum ivoirien de l’Efficacité énergétique ont réuni de nombreux experts en provenance d’Afrique, d’Europe et de plusieurs organisations et institutions financières internationales afin d’explorer les opportunités liées à la maitrise de l’énergie ainsi que la mise en œuvre d’actions d’amélioration de la performance énergétique dans les entreprises ivoiriennes.

Dans la même catégorie