Abidjan, 28 jan 2022 (AIP)- Les Chambres consulaires nationales à savoir les chambres de commerce et d’industrie, d’agriculture et des métiers de Côte d’Ivoire, réunies dans une plate forme, entendent réfléchir ensemble sur leur contribution à la réalisation de la vision de développement prônée par le gouvernement, a indiqué vendredi 28 janvier 2022 le président de cette plate forme, Touré Fama, lors d’une conférence de presse.
Ces chambres consulaires organiseront avant la fin du 1er trimestre de l’année un séminaire de réflexions « sur l’avenir des Chambres consulaires nationales » à Yamoussoukro autour du thème, « Vision Côte d’Ivoire 2030 du Gouvernement : Quelle contribution des Chambres consulaires nationales ? ».
Au cours de ces assises, les trois chambres consulaires de Côte d’Ivoire envisagent analyser leur position institutionnelle actuelle, ainsi que la contribution qu’elles pourraient apporter dans l’atteinte des principaux objectifs de la vision 2030 du gouvernement.
«Notre ferme volonté étant d’accroître notre appui au secteur privé placé au centre de la création de richesses, et positionner les chambres consulaires nationales comme des interlocuteurs crédibles et incontournables de l’Etat », a signifié M. Touré en présence des ces collègues présidents de chambres consulaires, Bamba Sindou et Bamba Kassoum.
Ce séminaire sera également l’occasion de mener des réflexions sur une stratégie commune de repositionnement, la problématique du financement des Chambres consulaires nationales. Il permettra d’envisager les axes d’intervention communs et des projets structurants en faveur de ressortissants de chaque chambre.
Les chambres consulaires des établissements publics d’État ont pour rôle de représenter les acteurs du secteur privé des différents secteurs économiques et exercent pour leur compte des activités d’appui et de conseil.
Les chambres consulaire de Côte d’Ivoire ont, à leur actif, plusieurs réalisations majeures qui ont impacté le progrès économique et social de la Côte d’Ivoire moderne. Il s’agit notamment de leur contribution à la mise en place d’infrastructures d’envergure telles que le chemin de fer Abidjan-Niger, le Wharf de Grand-Bassam, des entrepôts de stockage dans le domaine portuaire.
