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83.489 CANDIDATS AFFRONTENT LES ÉPREUVES DU BAC 2020


  22 Juillet      218        Société (45131),

 

BRAZZAVILLE, 21 JUIL (ACI) – Au total 83.489 candidats, répartis sur 261 centres d’examen, affrontent du 21 au 24 juillet, sur toute l’étendue du territoire national, les épreuves du baccalauréat, session de juillet 2020.
Pour le lancement de cet examen, le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, M. Anatole Collinet Makosso, en compagnie de la ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, Mme Ermelia Doukaga, et du préfet de la ville de Brazzaville, M. Ceber Ibiko Onanga, a commencé son inspection par les lycées de la ‘’Révolution’’ et ‘’Chaminade’’.
Pour cette session, a-t-on précisé, Brazzaville compte au total 42.029 candidats, dont 34.787 officiels et 7.242 candidats libres, répartis en 116 centres d’examen.
Selon le ministre de l’enseignement primaire et secondaire, cet examen se passe tel que le gouvernement l’avait prévu, conformément aux orientations du Président de la République, M. Denis Sassou-N’Guesso, qui avait tenu à ce que les examens d’Etat aient lieu dans le pays et que ceux-ci devaient se dérouler suivant les lois et règlements de la République, de sorte que la Covid-19 n’ait aucun impact négatif sur l’éducation des enfants.
À l’issue de ce lancement, M. Makosso a rassuré que les résultats de cette session, par rapport à la pandémie de la Covid-19, ne peuvent être que influencés positivement, parce que cette maladie, qu’il faille transformer en opportunité, a donné aux élèves l’occasion d’expérimenter un certain nombre d’outils mis à leur au bénéfice.
Ce bénéfice, a-t-il dit, est que les apprenants ont suivi les mêmes cours qu’ils avaient tout le temps en classe sur le numérique, à la télé, par la presse écrite et au travers les polycopiés. «Ils ont eu tous les supports dont dispose généralement l’enseignant. On peut donc dire que la pandémie à Covid-19 aura été une opportunité pour nos enfants», a-t-il affirmé.
Pour les candidats qui n’auraient pas retrouvé leurs noms sur les listes, dans les différents centres d’examen jusqu’à la dernière minute, le ministre en charge de l’enseignement primaire et secondaire a indiqué que ces derniers sont ceux qui passent par des artifices frauduleux.
Ce sont des élèves qui ont essayé un peu partout, au travers les centres d’encadrement, les marchands d’illusions et les escrocs qui leur garantissent une inscription et un mode de composition accompagné de certaines facilités. Il a fait savoir que pour ces candidats, un centre spécial a été ouvert à Brazzaville et dans d’autres départements.
S’agissant des candidats relevant des établissements consulaires, notamment ceux de l’Angola et de la Chine, il a dit que ceux-là auront une session bien après la réouverture des frontières.
Par ailleurs, M. Makosso a salué le bon démarrage des épreuves, indiquant que le gouvernement peut espérer qu’il en sera ainsi jusqu’à la fin de la session.
Pour sa part, la ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, Mme Doukaga, a déclaré que l’année académique 2019-2020 est une année très particulière. Elle aura été difficile autant pour les enseignants que pour les élèves à cause de la pandémie de la Covid-19, qui a contraint le département de l’éducation à réévaluer ses programmes, à les reformuler de manière à s’adapter à un nouveau concept initié par le ministre Makosso, dénommé ‘’Ecole à domicile’’, et qui a été un réel succès, avec pour preuve le lancement des examens d’Etat de cette année.

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