Kinshasa,21 novembre 2020 (ACP)-.Le prix d’une caisse des tomates pommés a connu une baisse des prix sur les différents marchés disséminés à travers la ville de Kinshasa, en se négociant à 60.000 (soixante mille) FC au cours de la période allant du 30 octobre au 17 novembre 2020 contre 75.000 (soixante-quinze mille) FC, la période du 28 septembre au 28 octobre de la même année, a relevé l’ACP au cours d’une enquête minute effectuée sur ces lieux de négoce.
Selon cette enquête, d’autres produits notamment une caisse des piments en provenance du Kongo central, un filet des Aies de 10 kg, un filet des oignons de 10 kg, un sac des gingembres et une botte des céleris observent une baisse de prix sur les mêmes marchés. Ces produits se négocient respectivement à 60.000 (soixante mille) FC contre 75.000 (soixante-quinze mille) FC, 40.000 (quarante mille) FC contre 55.000 (cinquante-cinq mille) FC et 45.000 (quarante-cinq mille) FC contre 30.000 (trente mille) FC.
Cependant, les produits tels que le filet des poivrons, le sac de concombres, le sac d’aubergines, le kg des muscades, un bol des feuilles de manioc et laurier observent une hausse de prix sur lesdits marchés.
Ces produits se vendent respectivement à 75.000 (soixante-quinze mille) FC contre 70.000 (soixante-dix mille) FC, 55.000 (cinquante-cinq mille) FC contre 45.000 (quarante-cinq mille) FC 78.000 (soixante-dix-huit mille) FC contre 68.000 (soixante-huit mille) FC 40.000 (quarante mille) FC contre 25.000 (vingt-cinq mille) FC et 23.000 (vingt-trois mille) FC contre 13.000 (treize mille) FC.
Par ailleurs, un carton des tomates en boîte de 100 pièces, gout de marque super kama 25 pièces et une botte de ciboulette observent une stabilité des prix sur le marché. Ils se négocient respectivement à 30.000 (trente mille) FC, 1000 (mille franc) FC et 5000 (cinq mille) FC.
Selon certaines vendeuses de ces ingrédients, cette hausse des prix desdits produits est attribuée à la dépréciation du Franc congolais face aux devises étrangères, étant donné que la plupart de ces épices sont importés de l’extérieur du pays. D’autres par contre, soutiennent que cette augmentation est due à l’impact négatif de la COVID 19.